tag:blogger.com,1999:blog-17108137638118381732024-03-14T07:13:04.586+01:00> THE GWILH'S BLOGGwilhhttp://www.blogger.com/profile/13353328183577514416noreply@blogger.comBlogger117125tag:blogger.com,1999:blog-1710813763811838173.post-60611860628778724852020-03-07T17:00:00.000+01:002020-03-07T17:13:54.373+01:00Le Havre - Municipales 2020 : mes idées pour le Quartier Sainte-Cécile<div style="text-align: justify;">
<i>Il y a quelques années, j'ai quitté le centre-ville du Havre pour m'établir dans le quartier résidentiel de <a href="https://www.google.com/maps/place/Ste+Cecile,+76610+Le+Havre/@49.5104182,0.1286979,14z/data=!3m1!4b1!4m5!3m4!1s0x47e02f96f4f33f0d:0x9decf637a914db28!8m2!3d49.5088192!4d0.1463223">Sainte-Cécile</a>, à proximité de la forêt de Montgeon, du parc de Rouelles et du cimetière Sainte-Marie. C'est vraiment un quartier formidable. On y trouve des maisons atypiques, un cœur vivant et commerçant, un marché trois fois par semaine. Le quartier est également très bien desservi par les transports en communs : pour se rendre en centre-ville, on y trouve deux lignes de bus - la ligne 1 et la ligne 7 -, une ligne de tramway - la ligne B -, et il y a également un station de taxis. Il y règne vraiment une atmosphère de petit village. Bref, j'aime mon quartier. </i></div>
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<i><br></i></div>
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Cela ne vous aura sans doute pas échappé, mais la campagne des élections municipales bat son plein. Les sept listes en compétitions rivalisent d'idées pour améliorer la qualité de vie des havraises et des havrais. A une semaine de la première échéance, j'ai parcouru les programmes des différents candidats, afin de connaitre les diverses propositions qui concernent spécifiquement le Quartier Sainte-Cécile. Au final, l'ensemble me semble plutôt maigre. Aussi, j'ai décidé de partager ici quelques idées qui me sembleraient pertinentes de développer pour "Sainte-Cé". Chers candidats, si vous me lisez, n'hésitez pas à vous servir, c'est gratuit !<i></i></div>
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<i><br></i></div>
<table align="center" cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="float: left; margin-right: 1em; text-align: left;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><img border="0" data-original-height="1200" data-original-width="1600" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjgA1fwFkpUf2H2eck6LHTt3LwcE4SV1Ey1N9LJb9BWVz5ylQqTl65SIuTnWA6S4Y3mW5vpFnShjD8Np5WE-V4GWtPBHoI0i-M0fBJgiSSGjEpvRevoUHD-0xVXkCnvYa8Cv-I7-ed91xNm/s400/IMG_20200306_170711.jpg" style="margin-left: auto; margin-right: auto;" width="490"></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;">La Place de la Liberté en semaine : un parking.</td></tr>
</tbody></table>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: justify;">
<br></div>
<ol style="text-align: justify;">
</ol>
<div style="text-align: justify;">
<b>Réaménager la Place de la Liberté, véritable cœur du village.</b> Lorsque ce n'est pas jour de marché, la place principale du quartier n'est qu'un parking, et n'est, du reste, pas souvent plein. Le parvis de l'église mériterait d'être mis en valeur. Les voies de circulation qui bordent la place devraient être réduites et, par exemple, pavées, afin de sécuriser le parcours des piétons. Des aménagement spécifiques pour le marché pourraient être réalisés. Un peu plus de végétaux égaierait l'ensemble. Les stationnements pourraient être repensés afin de dynamiser l'activité des commerces de la place.</div>
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<br></div>
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<b>Créer un véritable Conseil de Quartier, avec un Comité des Fêtes.</b> "Sainte-Cé" est, en effet, un chouette quartier, mais, au final, assez peu animé. Ces structures existent déjà, mais sont communes au quartier d'Aplemont. Or, les deux quartiers sont, tout de même, assez différents, et bénéficient chacun d'une identité propre. Doter Sainte-Cécile de véritables structures propres favoriserait son dynamisme, en créant un véritable sentiment d'appartenance de la part de ses habitants.</div>
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<br></div>
<div style="text-align: justify;">
<b>Créer une Maison du Quartier.</b> Cette proposition va de pair avec la précédente. Cette Maison pourrait notamment accueillir une bibliothèque - participant ainsi à la politique culturelle de la ville -, et être le QG des associations du quartier.</div>
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<br></div>
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<b>Finir le déploiement de la fibre optique.</b> La fibre passe en effet dans le quartier, mais trop peu de rues en sont finalement équipées. La connexion 4G est bien meilleure ici que la liaison ADSL. Et certains villages de la Communauté Urbaine, disposant déjà de la fibre, ont de biens meilleurs débits que les habitations de ce petit bout de ville.</div>
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<br></div>
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<b>Favoriser le développement de relais d'assistantes maternelles.</b> En effet, certains parents, qui ont notamment leurs enfants scolarisés à l'école Maurice Bouchor, ont besoin de pouvoir compter sur la présence de telles structures.</div>
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<i><br></i></div>
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<b>Participer au développement de structures médicales, comme le Centre Médical des Palmiers.</b> La baisse du nombre de médecins au Havre est, en effet, l'une des préoccupations majeures des administrés, et le Quartier Sainte-Cécile n'y fait pas exception.</div>
<div style="text-align: justify;">
<i><br></i></div>
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<b>Aménager et réaménager des espaces de vie propices aux échanges entre les habitants du quartier.</b> Les boulodromes de la Rue Joseph Madec et l'Avenue de Frileuse pourraient être réaménagés. Une aire de jeux pour enfants pourrait être installée dans le jardin qui se trouve derrière la Maison des Aînés de Frileuse.<i><br></i></div>
<div style="text-align: justify;">
<i><br></i></div>
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<b>Réaménager les axes de circulation, afin de les rendre plus conviviaux et accueillant pour les piétons et les cyclistes.</b> Je pense notamment aux axes Frileuse/Rouget de l'Ille et aux abords de la forêt de Montgeon, qui sont des voies où les véhicules se déplacent vite, rendant leur franchissement dangereux pour les usagers les plus vulnérables. Un parcours cycliste pourrait être aménagé dans le quartier.</div>
<div style="text-align: justify;">
<b><br></b></div>
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<b>Réorganiser et optimiser les réseaux.</b> Initier une véritable politique d'enfouissement des lignes électriques afin de rendre agréable les panoramas du quartier. De même, développer un réseaux d'évacuation des eaux de pluies distinct de celui des eaux usées. De nombreuses habitations sont en effet toujours reliées à un réseau unitaire de collecte des eaux.</div>
<div style="text-align: justify;">
<br></div>
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<b>Permettre aux enfants du quartier qui ont été scolarisés à l’École Maurice Bouchor de rejoindre ensuite le même collège.</b> En effet, en fonction du lieu d'habitation, les enfants du quartier qui entrent au collège rejoignent soit le Collège des Acacias, soit le collège Romain Rolland, ce qui n'est pas un facteur de cohésion pour les habitants du quartier.</div>
<div style="text-align: justify;">
<i><br></i></div>
<table cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="float: left; margin-right: 1em; text-align: left;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhREtHHTE3JCnJk43Pf4IT6FPrkNxWdWIAIbOj3QS2EsL0vsIVuWfjux9fNoRFwCPauKnMUegU0238XAVVpnQH1giiXawXad7zKQ1a7QwXCtFiVVIiQPD7FlLrGWpA3QO-y71FJJyUbNABN/s1600/IMG_20200307_095300.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; margin-bottom: 1em; margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" data-original-height="1200" data-original-width="1600" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhREtHHTE3JCnJk43Pf4IT6FPrkNxWdWIAIbOj3QS2EsL0vsIVuWfjux9fNoRFwCPauKnMUegU0238XAVVpnQH1giiXawXad7zKQ1a7QwXCtFiVVIiQPD7FlLrGWpA3QO-y71FJJyUbNABN/s400/IMG_20200307_095300.jpg" width="490"></a></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;">La marché du samedi fait battre le cœur du quartier.</td></tr>
</tbody></table>
<div style="text-align: justify;">
<i><br></i></div>
<div style="text-align: justify;">
<i>“Concevez toujours une chose en la considérant dans un contexte plus large - une chaise dans une pièce, une pièce dans une maison, une maison dans un quartier, un quartier dans une ville”. Eliel Saarinen. </i></div>
<i><br></i></div>
Gwilhhttp://www.blogger.com/profile/13353328183577514416noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1710813763811838173.post-73426720504207102802015-02-15T15:24:00.000+01:002020-03-07T14:55:09.920+01:00GoéLUG : Première AG Ordinaire<div style="text-align: justify;">
<i>GoéLUG, le Linux User Group - groupe d'utilisateurs de GNU/Linux et de logiciels libres - de la région havraise, a fêté sa première année d'activité en organisant sa première assemblée générale le 13 février dernier. Vous retrouverez ci-dessous <a href="http://goelug.org/index.php/19-activites/19-assemble-generale-du-13-fevrier-2015">le billet</a> que j'ai rédigé pour le site de l'association.</i></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Ce vendredi 13 février 2015, l'Association GoéLUG a tenu sa toute première Assemblée Générale Ordinaire, dans le Tube du Sonic, au sein du Fort de Tourneville au Havre. Cette rencontre a été l'occasion pour les membres de l'association présents d'échanger sur la première année de son existance, de mettre en valeur les actions positives réalisées et de retenir les pistes d'améliorations devant être développées au cours de cette nouvelle année.</div>
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<br /></div>
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La première année de GoéLUG aura été marquée par sa création administrative et l'adoption de statuts particuliers, centrés autour d'un Conseil Collégial prenant l'ensemble des décisions, tout en garantissant une représentation équilibrée des memebres et un partage des roles moins contraignant qu'une structure classique - comportant par exemple un Président, un Secrétaire et un Trésorier.</div>
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<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Cette année a également vu l'organisation des premiers évènement de l'Assiociation, notamment les deux Install-Parties du Sonic et celle de l'Université du Havre, l'atelier GoéBidouille autour du Raspberry Pi, et la participation à divers forums. Beaucoup de projets sont dans les cartons pour cette deuxième année d'activité, avec notamment l'organisation de nouveaux GoéBidouilles qui promettent d'être épiques !</div>
<div style="text-align: justify;">
<br />
<table cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="float: left; margin-right: 1em; text-align: left;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgy9MSEy-fhdFqs6A7LG4idrLHEGZkzVBg8IWK-Wu812GXJkcl70FYKpNwYNJIVEIYB5CnUPGxdxDTy17l6YD6uVf6BjcLU-VeeQNfnrf_T3j_OkprA6gpb7fIiBtwwCK6X9uhGG-gh574N/s1600/IMG_20150213_215140.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; margin-bottom: 1em; margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" data-original-height="1200" data-original-width="1600" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgy9MSEy-fhdFqs6A7LG4idrLHEGZkzVBg8IWK-Wu812GXJkcl70FYKpNwYNJIVEIYB5CnUPGxdxDTy17l6YD6uVf6BjcLU-VeeQNfnrf_T3j_OkprA6gpb7fIiBtwwCK6X9uhGG-gh574N/s400/IMG_20150213_215140.jpg" width="490" /></a></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;">La fine équipe de GoéLUG.</td></tr>
</tbody></table>
<br />
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<br />
<i>« Retrouvez plus d'informations sur le site de l'Association GoéLUG : <a href="http://www.goelug.org/">www.goelug.org</a> » Gwilh.</i>
</div>
Gwilhhttp://www.blogger.com/profile/13353328183577514416noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1710813763811838173.post-49002366414164866762013-11-02T16:27:00.000+01:002014-01-01T15:32:41.817+01:00[Tuto] Hearthstone: Heroes of Warcraft et Ubuntu<div style="text-align: justify;">
Petit chanceux que vous êtes. Vous avez enfin récupéré une clef beta pour le nouveau titre de Blizzard, le Jeu de Cartes à Collectionner (JCC) virtuel <i><a href="http://eu.battle.net/hearthstone/fr/">Hearthstone: Heroes of Warcraft</a></i>. Oui, mais voilà. Votre instinct naturel de libriste chevronné vous interdit de réinstaller Windows XP sur votre bécane, et ce, même dans une machine virtuelle. Vous voilà confronté à un difficile problème métaphysique.</div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Comme la plupart des jeux récents développés par Blizzard, <i>Hearthstone</i> repose en partie sur l'interface de programmation <a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/OpenGL">OpenGL</a>. Cela lui confère une compatibilité graphique, relative certes, avec les systèmes basés sur GNU/Linux. Voici donc la solution, testée sur Ubuntu 13.04 et Xubuntu 13.10, pour jouer à <i>Hearthstone</i> avec Linux.<br />
<br />
<table cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="float: left; margin-right: 1em; text-align: left;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi3hNjmI5Wc2pR155MAuDv3iqex4sK9rvqFIxvo494w3n2AjAyYmdn8ws8AaovGmkM6sh91GffXqHQzglWb5jYX8gh7z25k15V9SiYDDiSeAhr1zEZ-x6PfoRv1j8GrzucZOZFu_AxeJm_U/s1600/Hearthstone-login.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; margin-bottom: 1em; margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi3hNjmI5Wc2pR155MAuDv3iqex4sK9rvqFIxvo494w3n2AjAyYmdn8ws8AaovGmkM6sh91GffXqHQzglWb5jYX8gh7z25k15V9SiYDDiSeAhr1zEZ-x6PfoRv1j8GrzucZOZFu_AxeJm_U/s640/Hearthstone-login.jpg" width="490" /></a></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;">Il est beau, le logo de ce jeu de beta !</td></tr>
</tbody></table>
<br />
<h3>
<b>Télécharger l'application Battle.net </b></h3>
<br />
Rendez-vous sur la <a href="https://eu.battle.net/account/download/index.xml?show=bnetapp">page de téléchargement</a> de l'application Battle.net de Blizzard, et sélectionnez la version spécifique à Windows. Une fois téléchargée, n'ouvrez pas le fichier immédiatement, installez Wine.</div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<h3>
<b>Installer la dernière version de Wine</b></h3>
</div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Ubuntu et ses variantes disposent déjà de Wine dans les dépôts officiels. Cependant, pour une meilleure compatibilité avec <i>Hearthstone</i>, préférez la version de Wine en cours de développement, disponible dans le dépôt ad-hoc. Ouvrez un terminal, et entrez les ligne suivantes :<br />
<blockquote class="tr_bq">
<span style="font-family: Courier New, Courier, monospace;">sudo add-apt-repository ppa:ubuntu-wine/ppa -y</span><br />
<span style="font-family: Courier New, Courier, monospace;">sudo apt-get update</span><br />
<span style="font-family: Courier New, Courier, monospace;">sudo apt-get -y install wine1.7</span></blockquote>
<h3>
<b>Configurer Wine</b></h3>
<br />
Pour faire fonctionner correctement l'application Battle.net, vous aurez besoin d'effectuer une petite manipulation dans le menu de configuration de Wine. Vous trouverez ce menu en entrant <span style="font-family: Courier New, Courier, monospace;">winecfg</span> dans un terminal, ou en cherchant "Wine" dans l'outil de recherche Unity d'Ubuntu, ou encore dans le menu Wine > Configurer Wine dans Xubuntu.<br />
<br />
Une fois dans l'outil de configuration de Wine, rendez-vous dans l'onglet "Bibliothèques". Dans le cadre "Nouveau remplacement pour", tapez <span style="font-family: Courier New, Courier, monospace;">dbghelp</span> et cliquez sur "Ajouter", puis "Oui".<br />
<br />
Rendez-vous ensuite dans le cadre "Remplacements existants", cliquez sur <span style="font-family: Courier New, Courier, monospace;">dbghelp</span> puis sur "Modifier". Sélectionnez l'option "Désactiver" et cliquez sur "OK".<br />
<br />
<b><i>[MAJ 1/01/2014]</i></b> Depuis la mise à jour 1.7.9 de Wine, il est aussi nécessaire de procéder de la même manière avec le DLL <span style="font-family: Courier New, Courier, monospace;">msvcp100</span><span style="font-family: inherit;">. Cependant, au lieu de sélectionner "Désactiver", il faut choisir "Native puis intégrée".</span><br />
<br />
Quittez maintenant l'outil de configuration de Wine en cliquant sur "Appliquer" puis "OK".<br />
<br />
<h3>
<b>Installer l'application Battle.net et <i>Hearthstone</i></b></h3>
<br />
Vous n'avez plus qu'à ouvrir le programme Battle.net téléchargé juste avant, et vous laisser guider. Une fois cette application prête sur votre machine, il ne vous reste plus qu'à procéder au téléchargement et à l'installation de <i>Hearthstone</i> via Battle.net, ainsi qu'aux autres jeux Blizzard en votre possession.<br />
<br />
Le plus dur reste désormais à faire : constituer un deck de compétition pour mettre la pâté à tous vos amis. Mais pour cela, je vous laisse vous débrouiller !<br />
<br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
</div>
<table cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="float: left; margin-right: 1em; text-align: left;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjs7DKMAr1ZIxPoOCN-H8UbzDBzOInBv7kmjN_6yeikwfCkFuMTLn77_X1SveVl_mr9IjWDqSTEl5wrdijR29LtATbpmw1KZBY7IMj-mLet5ZGM3UczI6YclQQLFw70r9k01-Q5hKbyxwhR/s1600/Capture+du+2013-11-03+10:32:22.png" imageanchor="1" style="clear: left; margin-bottom: 1em; margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjs7DKMAr1ZIxPoOCN-H8UbzDBzOInBv7kmjN_6yeikwfCkFuMTLn77_X1SveVl_mr9IjWDqSTEl5wrdijR29LtATbpmw1KZBY7IMj-mLet5ZGM3UczI6YclQQLFw70r9k01-Q5hKbyxwhR/s640/Capture+du+2013-11-03+10:32:22.png" width="490" /></a></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;">Une petite partie bien mal commencée !</td></tr>
</tbody></table>
<br />
<i>« Il faut toujours jouer loyalement quand on a des cartes gagnantes. » Oscar Wilde.</i></div>
Gwilhhttp://www.blogger.com/profile/13353328183577514416noreply@blogger.com0Le Havre, France49.49437 0.1079290000000128249.411864 -0.053432499999987171 49.576876000000006 0.26929050000001281tag:blogger.com,1999:blog-1710813763811838173.post-70846635016220386022013-03-09T16:43:00.000+01:002013-03-09T16:51:30.455+01:00Mito, la p'tite bête qui triche<div style="text-align: justify;">
Dans le monde ludophile coexistent deux écoles. Celle qui estime que le seul jeu noble est celui qui consiste à jouer selon les règles, et celle qui promeut l'amusement avant tout, quitte à faire fi de celles-ci. Mais il existe un jeu capable de réconcilier ces deux idéologies. </div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Ce jeu, c'est <i>Mito</i> : un jeu de cartes simple et amusant, créé par deux enfants, Emely et Lukas Brand, frère et sœur, désireux de jouer selon leurs propres règles. Cette boite à fait mouche : c'est un des succès de l'année 2012, obtenant d'élogieuses critiques au dernier salon d'Essen. Dernièrement, <i>Mito</i> a fait partie de la liste des douze jeux nommés pour l'obtention de l'As d'Or au Festival International du Jeu de Cannes.</div>
<div style="text-align: justify;">
<br />
<table cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="float: left; margin-right: 1em; text-align: left;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhIZ5jl3aHSM82FU9t-KjYJpDKnNBsPPQgXpTMHnebbeE8Nmj1AeXwp_k4ioa1joKqTGRqgRmhpEGdtu-_-vHXc7M1rlX2JhtdNmBcmG_PeNWFZ-suuNxzSVyHLpK89HDZnZFYueH-umWuX/s1600/2013-03-09+15.12.00.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; margin-bottom: 1em; margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhIZ5jl3aHSM82FU9t-KjYJpDKnNBsPPQgXpTMHnebbeE8Nmj1AeXwp_k4ioa1joKqTGRqgRmhpEGdtu-_-vHXc7M1rlX2JhtdNmBcmG_PeNWFZ-suuNxzSVyHLpK89HDZnZFYueH-umWuX/s640/2013-03-09+15.12.00.jpg" width="490" /></a></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;">Une petite boite pleine de surprises.</td></tr>
</tbody></table>
<br />
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<i>Mito</i> est un petit jeu plutôt simple, quelques plis suffiront à en retenir les mécanismes. Le vainqueur de la partie est celui qui a réussi à se débarrasser de toutes ses cartes en premier. Pour cela, chaque joueur pose, à tour de rôle, sur la pile de défausse, une carte dont le numéro est soit supérieur soit inférieur d'une unité que la carte posée par le joueur précédent. Les cartes sont numérotées de un à cinq : sur une carte <i>"un"</i> il est donc possible de poser une carte <i>"deux"</i>, ou une carte <i>"cinq"</i>.</div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Cependant, certaines cartes disposent de motifs particuliers. Ce sont les cartes <i>Actions</i>, il en existe de quatre sortes. Lorsque sort la carte <i>Araignée</i>, jaune, le joueur qui la pose peut offrir une de ses cartes qu'il choisit à un adversaire de on choix. Si le joueur pose la carte <i>Moustique</i>, rose, ses adversaires doivent taper le plus vite possible sur la défausse et le joueur le plus lent reçoit une carte de chacun des autres joueurs. Si une carte <i>Fourmi</i>, bleue, est posée, les autres joueurs doivent piocher une carte supplémentaire. Enfin, si un joueur pose une carte <i>Cafard</i>, de couleur orange, tous les autres doivent poser le plus rapidement possible une carte de la même valeur, mais seul le plus rapide peut laisser sa carte sur me dessus de la défausse.</div>
<div style="text-align: justify;">
<br />
<table cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="float: left; margin-right: 1em; text-align: left;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhI7qx9Hp3E5uaPRGSSqiUwdDC28KjCfn615ewZceRiQPfPYarNRPyULdhRR9oOvAJYh6tvCwfsSo9hizfSGWTOSDekUBb7DSloXklkKA_ZYUMrJz05wWZZq6fsAh5hWUPmvDGYfSLeEERz/s1600/2013-03-09+15.13.05.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; margin-bottom: 1em; margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhI7qx9Hp3E5uaPRGSSqiUwdDC28KjCfn615ewZceRiQPfPYarNRPyULdhRR9oOvAJYh6tvCwfsSo9hizfSGWTOSDekUBb7DSloXklkKA_ZYUMrJz05wWZZq6fsAh5hWUPmvDGYfSLeEERz/s640/2013-03-09+15.13.05.jpg" width="490" /></a></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;">La bande des Mitos. Difficile de s'en débarrasser.</td></tr>
</tbody></table>
</div>
<div style="text-align: justify;">
Le jeu prend une toute autre dimension avec les cartes <i>Mito</i>. En effet, il est interdit de poser celles-ci sur la défausse, ou de les offrir à un adversaire. Le seul et unique moyen de se débarrasser de ces embarrassantes cartes est donc... la triche. Oui. Il est en effet permis de tricher dans <i>Mito</i>. Et pour cela, tous les moyens sont autorisés : s’asseoir sur la carte, la ranger dans sa manche, la glisser dans son col ou sous la table... Cette subtilité est valable pour toutes les cartes du jeu. Aussi, si votre technique est imparable, vous pouvez très bien ne déposer qu'une seule carte sur la table, la dernière, qui doit obligatoirement être défaussée. Une autre petite limite à cette règle : on ne peut faire disparaître qu'une seule carte à la fois.</div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Mais attention, la <i>Gardienne punaise</i> veille au grain ! En début de partie, le joueur le plus âgé récupère en effet cet attribut spécifique. Il a la lourde charge de veiller à ce que personne ne triche autour de la table. S'il surprend quelqu'un en train de commettre un tel méfait, il doit accuser son adversaire de tricherie. Si la tromperie est avérée, l'accusé devra prendre une carte supplémentaire, et endosser le rôle de <i>Gardienne punaise</i>, sinon c'est au joueur gardien de prendre une carte supplémentaire et de conserver son titre.</div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<b>Par son mécanisme simple, et l'introduction originale de la tricherie, <i>Mito</i> est un jeu entièrement tourné sur l’interaction entre les joueurs. On ne peut s'empêcher de pouffer de rire en voyant un de ses amis tenter de cacher une carte sous sa chaise, aussi discrètement que possible, ce qui n'est pas toujours aisé. Des heures de fous rires et d'amusement en perspective. </b><br />
<br />
<table cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="float: left; margin-right: 1em; text-align: left;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhXisTXt5x6daJSCeMzM9IFGuiimuwoagyLfna7VO-dEy_9x0uk8WtaPGolSCXqSZpSNgGWSzwlcMJjrfIHOEqVSh_glV7VQtWh0RVJOTazynsqX2cIWS6QpQOM6tJhtXR5tOamprL2zhpd/s1600/2013-03-09+15.14.18.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; margin-bottom: 1em; margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhXisTXt5x6daJSCeMzM9IFGuiimuwoagyLfna7VO-dEy_9x0uk8WtaPGolSCXqSZpSNgGWSzwlcMJjrfIHOEqVSh_glV7VQtWh0RVJOTazynsqX2cIWS6QpQOM6tJhtXR5tOamprL2zhpd/s640/2013-03-09+15.14.18.jpg" width="490" /></a></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;">Les cartes <i>Actions</i>, surveillées de près par la <i>Gardienne punaise</i>.</td></tr>
</tbody></table>
<br />
<i>Mito, de Emely et Lukas Brand, édité par Gigamic, environ 10 euros dans toutes les bonnes boutiques. De 3 à 5 joueurs, à partir de 7 ans. Une quinzaine de minutes par parties.</i></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
Gwilhhttp://www.blogger.com/profile/13353328183577514416noreply@blogger.com1tag:blogger.com,1999:blog-1710813763811838173.post-21097800167290523302013-03-02T15:35:00.000+01:002013-03-04T10:31:56.071+01:00Au Bureau, le midi, le soir et même le week-end<div style="text-align: justify;">
Il est des midis où l'on à pas nécessairement envie de quelque chose d'original pour se restaurer. Un bon plat chaud, une petite pinte de bière, et éventuellement un dessert, peuvent faire l'affaire. C'est dans cet état d'esprit, un peu hagard, que j'entrais pour la première fois <a href="http://aubureau.fr/index.php"><i>Au Bureau</i></a>, enseigne connue, se trouvant derrière le Volcan, au Havre, évidemment. Connue à double titre. Par l'emplacement, dans un premier temps, qui accueillait jusque récemment un des endroits branchés prisés par les trentenaires de la ville, le Victoria. Par son intitulé, ensuite, puisqu<i>e </i><i>Au Bureau</i> est une chaîne de brasseries franchisées rayonnant dans tout l'hexagone.<br />
<br />
J'entre dans l'établissement. Quelques instants après, une serveuse, aimable, m'indique une table ou m’asseoir. La décoration du lieu est soignée : un papier peint à rayures verticales reprenant le logo du restaurant, des cadres vintages et des accessoires çà et là, rappelant des scènes de hockey sur gazon ou de polo, inscrivent l'ambiance dans une thématique de pub à l'anglaise. C'est assez cosy, et on y est bien assis. Mes yeux se jetèrent, alors, sur la carte des breuvages.<br />
<br />
Le choix de bière à la pression est assez riche, tout en restant relativement limité. L'on sent bien que la franchise a passé un accord d'approvisionnement avec <i>Leffe</i>. Toutes les variantes, ou presque, y sont disponibles : blonde, ruby, royale... Il manque peut-être, et malheureusement, la brune. J'opte alors pour la <i>Leffe Rituel</i>, neuf degrés, fraîche, se laisse boire aisément.<br />
<br />
<table cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="float: left; text-align: left;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh-GvDkXJKOrbKt7jUHV6ZzPjCVgF35Jj4x8TuTpZgFu7FQ8YQrgTDHBvIaGXUH0K-sdXPJhAYhFShSGQIuUnS7EyyxR8aEoYbGUgrIV4YKQIgUdOuCH4JorKUmwBRrvp4ltn7sublP8Pw1/s640/IMG_20130214_125103.jpg" style="margin-left: auto; margin-right: auto;" width="490" /></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;">Le <i>Au Bureau Burger</i> et sa sympathique mise en scène.</td></tr>
</tbody></table>
<br />
Mon dévolu se porte ensuite sur la carte des victuailles. Celle-ci fourmille de plats divers et variés. Vraiment, si vous n'avez aucune idée, ici, vous disposez de l'embarras du choix. Et même plus. Voire trop. L'établissement propose en effet diverses spécialités, provenant de différentes contrées gastronomiques : les classiques pizzas et pâtes italiennes, les hamburgers américains, le fish & chips anglo-saxon, le croque-monsieur local, le camembert grillé de Normandie, ou encore le welsh venu du nord. Joker de la facilité, je commande un <i>Au Bureau Burger</i>, avec une tranche de bacon. Le tout est bon, joliment présenté sur un petit plateau en ardoise, avec quelques feuilles de salades assaisonnées et des frites sortant de l'ordinaire industriel. Bien évidemment, nous ne sommes pas au niveau du <a href="http://www.gwilhermalleonad.net/2013/01/le-whoopies-diner-ses-burgers-nous.html"><i>Whoopies Diner</i></a>, véritable Everest du burger au Havre. Mais le plat se laisse déguster aisément et rempli parfaitement son office.<br />
<br />
Place au dessert. Oui, et par pure gourmandise. Car de la place, il m'en manquait. La carte des desserts est un peu plus légère. On y retrouve les classiques de la restauration de brasserie, renommés ou réarrangés pour l'occasion. A côté des coupes glacées, l'on trouve, en effet, les moelleux au chocolat, crumble, brownies, tiramisu, crêpes et gaufres. Mon choix se porte rapidement sur l'<i>American Dream</i>, un brownie au coulis de chocolat accompagné de chantilly. La pièce parait minuscule dans son énorme assiette, et pourtant, la note sucrée achève complètement ce repas.<br />
<br />
<b>Au Bureau, l'on y vient tout d'abord pour le lieu, chaleureux et cosy. L'on y vient ensuite pour manger en toutes variétés. L'on y vient enfin, et c'est, à mon sens, son point fort, pour ses horaires d'ouverture et de service très accueillant. L'établissement est, en effet, ouvert le soir jusqu'à minuit, voire deux heures du matin, le week-end. De quoi poursuivre agréablement une soirée bien entamée entre amis, ou après un match du <a href="http://www.stblehavre.com/spip.php?page=menu2012&id_rubrique=15&var_mode=recalcul">Saint-Thomas Basket</a>, autour d'un bon repas, et pourquoi pas, d'un verre ou deux. L'enseigne n'est pas des meilleurs marchés, mais reste une bonne adresse pour se sustenter.</b></div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh-GvDkXJKOrbKt7jUHV6ZzPjCVgF35Jj4x8TuTpZgFu7FQ8YQrgTDHBvIaGXUH0K-sdXPJhAYhFShSGQIuUnS7EyyxR8aEoYbGUgrIV4YKQIgUdOuCH4JorKUmwBRrvp4ltn7sublP8Pw1/s1600/IMG_20130214_125103.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"> </a> </div>
<br />
<table align="center" cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="float: left; margin-right: 1em; text-align: left;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgHTlmLZsqFmoHNO_TkxYB7sr_qIiFr26LV-20OYV2DIyMPwHn53gCPuWVS_MQgvS7mIYnq_JQ090bu9VSl9VLa1DCt6tYbf7e2SsyWREhazAE6tffLJkCCNTKG2Ylv4ziwHnQ_tdjGOwqC/s640/IMG_20130214_132654.jpg" style="margin-left: auto; margin-right: auto;" width="490" /></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;">L'<i>American Drean, </i>un bon brownie dans une grande assiette</td></tr>
</tbody></table>
<div style="text-align: justify;">
<i>Au Bureau, 36 Rue Bernardin de Saint-Pierre, 76600 Le Havre - Ouvert tous les jours de onze heures à minuit, les vendredis et samedis soirs jusqu'à deux heures du matin.
</i></div>
Gwilhhttp://www.blogger.com/profile/13353328183577514416noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1710813763811838173.post-88761863815669205922013-02-23T15:54:00.000+01:002013-03-01T16:45:16.032+01:00Les Jeux de Jief, le plaisir du jeu de société à partager<div style="text-align: justify;">
La pratique des jeux de société requiert certains prérequis. Le premier d'entre eux, le plus essentiel, est de se (re)trouver en société, justement. A plusieurs. Bien que certaines exceptions peuvent confirmer cette règle. Mais l’intérêt même de la pratique réside en la faculté que l'on puisse à plusieurs se retrouver autour d'un plateau, de meeples, de dés ou autres cartes, et partager un moment de franche rigolade et camaraderie. C'est ainsi. L’Homme est ce qu'il est, il n'est pas fait pour vivre en solitaire.</div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Jief l'a bien compris. Depuis quelques années déjà, ce ludophile organise nombre de soirées et après-midis centrées autour de sa passion. Cela se passe à <a href="https://maps.google.fr/maps?client=ubuntu&channel=fs&oe=utf-8&q=Sorquainville&ie=UTF-8&hq=&hnear=0x47e067933fd36ded:0x40c14484fb66aa0,Sorquainville&gl=fr&ei=_74oUdKsMYWW0QWwlIHIDQ&ved=0CJkBELYD">Sorquainville</a>, à quelques kilomètres de Fécamp. Pas si loin du Havre, finalement. Une quarantaine de minutes, si l'on est véhiculé. Avec l'ami <a class="g-profile" href="http://plus.google.com/108215557170946653994" target="_blank">+Christophe C.</a>, alias <a href="https://twitter.com/Titloup76">@Titloup76</a> - déjà auteur d'un <a href="http://havraisnormand.blogspot.fr/2013/02/les-jeux-de-jief.html">article sur le sujet</a> ce mois-ci - nous nous sommes rendus, le week-end dernier, à la trente-septième après-midi jeux "spéciale vacances" organisée.<br />
<br />
Une ludothèque impressionnante y était présentée. A la grosse louche, une cinquantaine de jeux pouvait être abordée par les participants. Après chaque partie, Jief nous propose d'attribuer une note à la boîte. Le meilleur jeu remporte en fin d'année le Jief d'Or. N'écoutant que notre courage, et surtout notre féroce envie ludivore, nous nous sommes essayés à quatre jeux.<br />
<br />
<b><i>Indigo</i>, ou comment récupérer ses joyaux par les tuyaux</b><br />
<br />
<div style="text-align: justify;">
Les règles d'<i>Indigo</i> sont d'une simplicité enfantine. Vous devez poser des tuiles formant des chemins de tuyaux, de sorte que les joyaux se trouvant sur le plateau parviennent jusqu'à vos portes. Oui, mais voilà : les tuiles sont piochées aléatoirement, et vos acolytes feront tout pour détourner ces flux nouvellement créés. A moins que la situation les arranges, auquel cas, des alliances éphémères pourront se créer. A la fin de la partie, le joueur ayant obtenu les joyaux de plus grandes valeurs gagne.</div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Très simple, mais extrêmement efficace, ce jeu abstrait donne tout de suite le ton. Les parties s’enchaînent et le plaisir s'installe. D'autant que les revirements de situation peuvent être nombreux, les amitiés du jour ne formant pas toujours celles du lendemain. </div>
<br /></div>
<table align="center" cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="float: left; margin-right: 1em; text-align: left;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjaNqGdUhJAefPRSbZtAGV-SQ0LagVfsYRh3RzmC4vwlueXKUc0eZjoTe0o3XM1iNjkVwz6-ytmzbOkxcickllYGTaV3z8ngETWbl6vxXQ82hT11uEEOTxLgvFx9D4eTWa6vBc1vZJpR7Cu/s640/IMG_20130217_154616.jpg" style="margin-left: auto; margin-right: auto;" width="490" /></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;">Devenez le "Huggy les bons tuyaux" de ce jeu de joyaux.</td></tr>
</tbody></table>
<div style="text-align: justify;">
<i>Indigo, de Reiner Knizia, édité par Ravensburger, une petite trentaine d'euros dans toutes les bonnes échoppes. De 2 à 4 joueurs, à partir de 8 ans. Une trentaine de minutes par partie.</i><br />
<br />
<b><i>Meltdown 2020</i>, dénucléarisation de meeples</b><br />
<br />
Dans <i>Meltdown 2020</i>, votre mission - si toutefois vous l'acceptez - consiste au rapatriement de vos concitoyens, par tous les moyens possibles, dans les bases aériennes les plus proches, avant qu'une catastrophe nucléaire ravage la région. En effet, une des centrales du pays menace d'exploser, et les autres installations ne sont pas exemptes de défauts. Vous devez donc utiliser votre voiture, bus et hélicoptère pour permettre aux plus grand nombre de vos meeples de survivre.<br />
<br />
<i>Meltdown 2020</i> est un petit jeu sympathique alliant stratégie et ambiance apocalyptique. On peut cependant lui reprocher le manque d'interaction entre joueurs, chacun devant organiser son petit plan de sauvetage dans son coin, aucun moyen de gêner les autres dans leur progression. <br />
<br /></div>
<table align="center" cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="float: left; margin-right: 1em; text-align: left;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhjfWnXLdWLlnqbBkIUEKn61rgc3WM9r0_nYyLBQwrqcL-yvg9K4CKqqFycRX6MuEzX8neC-fRwPqnQT7wdiOry2B0rbcO3m_7QJ8lNxTnUUIbof58HoMIL1PV6ga-5QC8AjWa8eYv8sitg/s640/IMG_20130217_163648.jpg" style="margin-left: auto; margin-right: auto;" width="490" /></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;">Aidez vos meeples à échapper à l'apocalypse nucléaire.</td></tr>
</tbody></table>
<div style="text-align: justify;">
<i>Meltdown 2020, de Corné Van Moorsel, édité par Cwali, une
trentaine d'euros dans toutes les bonnes échoppes. De 1 à 5 joueurs, à
partir de 8 ans. Une quarantaine de minutes par partie.</i></div>
<br />
<b><i>6 qui prend</i>. Et parfois cher.</b><br />
<br />
<div style="text-align: justify;">
Le jeu de carte <i>6 qui prend</i> est simple, et peut parfaitement être joué à l'apéritif, ou être emmené en vacances. Comme Christophe <a href="http://havraisnormand.blogspot.fr/2012/03/6-qui-prend-un-jeu-vache.html">aime à la rappeler</a>, c'est un jeu vache. Le principe est de poser toute ses cartes, tout en accumulant le moins de bovins possibles. Pour cela, vous devez disposer, à la suite d'une des quatre lignes de cartes se trouvant sur la table, une carte d'une valeur supérieure à la précédente. Mais attention, celui qui pose la sixième carte d'une ligne doit ramasser toutes les cartes de celles-ci, et accumuler les vaches qui vont avec. </div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<i>6 qui prend</i> est un petit jeu de carte comme je les aime. Stratégique, nombreuses possibilités de nuire aux autres. Des règles simples à comprendre, mais de la réflexion quand même. Bref, bien mieux que les petits chevaux ! </div>
<br />
<table align="center" cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="float: left; margin-right: 1em; text-align: left;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiE3BSvwV8828Ped3Av_JMYwQ0lBOu6z1zXsFgZr0Ro3IrSUF1BuILcn7wNAVNZQoro8ud0Xm6T5ukqNmlhGnZAiumhiDWEvUrmIi78cdraXbbPS4WK_4bwepPnlxA5_yHWgiFYILGMkFor/s640/IMG_20130217_175553.jpg" style="margin-left: auto; margin-right: auto;" width="490" /></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;">Un jeu vache, meilleur que les petits chevaux !</td></tr>
</tbody></table>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: justify;">
<i>6 qui prend, de Wolfgang Kramer, édité par Gigamic, une dizaine d'euros dans toutes les bonnes échoppes. De 2 à 10 joueurs, à
partir de 10 ans. Une quinzaine de minutes par partie.</i></div>
<br />
<b><i>Die Maulwurf Company</i>, à la recherche de la pelle d'or</b><br />
<br />
<div style="text-align: justify;">
Connu également sous le nom de la <i>Compagnie des Taupes</i>, <i>Die Maulwurf Company</i> s'adresse aux plus jeunes d’entre nous. Et pourtant, le mécanisme du jeu cache une véritable pépite tactique. Vous devez déplacer vos taupes au travers de plusieurs couches de plateaux successives afin de découvrir la pelle d'or. Mais; qu'on se le dise, à la fin, il ne restera plus qu'une seule taupe !</div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Vous devez déplacer vos taupes le long de chemin afin que celles-ci puisse rejoindre un trou et passer à l'étape suivante. Oui, mais voilà, vos mouvements sont limités : vous ne pouvez déplacer vos taupes que dans une seule direction à la fois, obligatoirement du nombre de cases indiquées par vos petites plaquettes piochées, et vous ne pouvez croiser d'autres taupes. Chaque joueur a donc un fort pouvoir de nuisance sur le jeu des autres. Tout pour me plaire, en somme.<br />
<br /></div>
<table align="center" cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="margin-left: auto; margin-right: auto; text-align: center;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiI5DNzZg8evs2mzSqL_gWUQ7vl_3WfKO4Q2jucFGpThwqDXPS4EizkvQNe387h1iWg7JLy1A7Y5kD49cCatKnPFZZF-mR2UX9PaSyMw76UB5gUKfSGiZlaGjzGz4LxovTOcbK_tIcOviN9/s640/IMG_20130217_182957.jpg" style="margin-left: auto; margin-right: auto;" width="490" /></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;">Une pelle dorée se cache quelque part. Saurez-vous la trouver ?</td></tr>
</tbody></table>
<div style="text-align: justify;">
<i>Die Maulwurf Company, de Bertram Kaes et Virginia Charves, édité par Ravensburger, une trentaine d'euros dans les bonnes échoppes de l'Internet. De 2 à 4 joueurs, à
partir de 6 ans. Une bonne trentaine de minutes par partie.</i></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<b>Liens utiles</b></div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Si cet article vous a donné envie de participer à la prochaine animation des <i>Jeux de Jief</i>, n'hésitez pas à consulter les liens suivants :</div>
<ul style="text-align: justify;">
<li><a href="http://jeuxdejief.over-blog.com/"><b>Annonces des prochaines soirées</b></a></li>
<li><b><a href="http://jeuxdejief.over-blog.com/article-planning-2013-113835167.html">Planning des événements 2013 </a></b></li>
<li><a href="http://jeuxdejief2.over-blog.com/"><b>Les soirées précédentes</b></a></li>
<li><a href="http://jief.over-blog.com/"><b>Les soirées "off" de Jief </b></a><i><br /></i></li>
</ul>
Gwilhhttp://www.blogger.com/profile/13353328183577514416noreply@blogger.com0Sorquainville, France49.706236999999987 0.5539639999999508349.665159499999987 0.47328299999995083 49.747314499999987 0.63464499999995083tag:blogger.com,1999:blog-1710813763811838173.post-64942107320753522252013-02-16T16:46:00.000+01:002013-02-16T16:46:39.654+01:00Le Boka, le ti'lolo du Havre<div style="text-align: justify;">
Ceux d’entre vous qui ont déjà voyagé dans les Caraïbes, et plus particulièrement en Guadeloupe, le savent. Les endroits où l'on mange le mieux ne sont pas ces pièges à touristes où l'on vous promet un repas les pieds dans l'eau. Non. Certes, il y a le cadre. L'eau bleue azur, calme, chaude, protégée par une barrière de corail. Mais la nourriture y manque malheureusement d'originalité et racines, tant l'on veut attirer le chaland venu d'un autre continent. Non.<br />
<br />
Là où l'on mange le mieux en Guadeloupe, c'est dans les ti'lolos. Mais kézako, les ti'lolos ? Ce sont généralement des petites baraques en bois, avec quelques tables et chaises dispersées ça et là, proposant de la nourriture locale, essentiellement des acras, de la chiquetaille de morue, ou encore des bokits. Des choses qui se mangent rapidement, mais que l'on ne saurait qualifier de fast-food. Nous sommes bien au-dessus. C'est l'idée reprise par <a href="http://www.leboka.fr/"><i>le Boka</i></a>, cette échoppe havraise ouverte depuis l'été dernier, non loin du Palais de Justice et de sa nouvelle station de tramway.<br />
<br />
<table cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="float: left; margin-right: 1em; text-align: left;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiDnc4es4enThbMX6m86guY3D2oomzbHBjUR1224k6GxtjWo7N2tbntRSIEpAZ8Ii4CzubH2Rv0WyGfUUV1u1UkWSE6TZgtYI5jUZ4Om0hEYwf8lkCO3lbZzR8N4Ql3aH-X2f9h0VGbZCvO/s1600/IMG_20130213_131526.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; margin-bottom: 1em; margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiDnc4es4enThbMX6m86guY3D2oomzbHBjUR1224k6GxtjWo7N2tbntRSIEpAZ8Ii4CzubH2Rv0WyGfUUV1u1UkWSE6TZgtYI5jUZ4Om0hEYwf8lkCO3lbZzR8N4Ql3aH-X2f9h0VGbZCvO/s640/IMG_20130213_131526.jpg" width="490" /></a></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;">Six acras et leur purée de poivrons. Avec un rafraichissement. Et des couverts aussi.</td></tr>
</tbody></table>
<br /></div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: justify;">
J'entrais dans cette boutique par pur hasard, un jour où la météo n'était point expressive par sa clémence, ne sachant pas trop où me sustenter, le temps imparti m'étant compté. Cependant, je n'avais aucune envie de me rabattre sur un kebab ou un jambon-beurre-tomate. L'établissement propose, pour ceux qui souhaite manger sur le pouce, des bokits en diverses variantes. Dans mes souvenirs, ces sandwichs frits étaient essentiellement garnis de morue. <i>Le Boka</i> propose lui de le garnir selon vos envies : poulet, saucisse, jambon, viande hachée... Le cuisinier m'avoua d'ailleurs qu'il a fait évoluer la recette traditionnelle afin de l'adapter à nos goûts européens. A l'instar de ce que propose les restaurants turques, en somme.</div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: justify;">
<br /></div>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: justify;">
J'optais plutôt pour le plat du jour et la formule consacrée, me promettant de revenir lors d'une journée plus ensoleillée pour déguster un bokit. Pour douze euros et cinquante centimes, vous obtenez une entrée, un plat et un dessert. Je pris une boisson en extra, un brevage particulier nommé <i>Vita Malt</i>. Une sorte de bière noire sans alcool, sucrée au goût de miel. Surprenant mais pas mauvais. <i>Le Boka</i> propose également de l’<i>Ordinaire</i>, une boisson guadeloupéenne aromatisée à l'anis. Je m'assis à l'une des rares tables libres, au coin de la pièce, côté fenêtre.Quelques plantes vertes tropicales pour la déco. De la musique zouk et des clips, diffusés par <i>Trace TV</i>. Le décor est planté. </div>
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<br /></div>
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Le service est rapide, le personnel souriant. Mes six acras arrivèrent, accompagnés d'une légère purée de poivrons rouges. Pas mal. On attend la suite. Le plat du jour. Curry de poulet accompagné de son riz. On le sent, la volaille a mijoté. Elle s'est parfaitement imprégnée du mélange épicé. Le riz, par contre, est d'une qualité moyenne. Bon, mais pas extraordinaire. Cela ne vient pas de la cuisson, mais du type de riz usité. Passable. Le serveur me proposa une sauce épicée, tout en me prévenant. Après y avoir goûter, oui, je peux l'affirmer : ça arrache. Pour le dessert, le restaurant propose des flans cocos, mais aussi des tartes au <i>Daim </i>ou au <i>Toblerone</i>. Bon, là, ma gourmandise de bas étage l'emporta, et j'optais pour cette dernière. Un choix que j'assume sans regretter. Assurément.</div>
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<b>Si vous disposez de peu de temps pour vous restaurer, le <i>Boka</i> est une excellente alternative à ce qui se pratique habituellement. Le service y est rapide, la formule plat du jour est servie en une vingtaine de minutes. Les aliments sont cuisinés et préparés sous vos yeux, et les ingrédients sont globalement de premier choix. L'établissement propose ici un compromis entre restauration guadeloupéenne traditionnelle et fast-food à l'européenne. L'alternative est intéressante, mais pour des repas plus élaborés, préférez tout de même les traiteurs antillais classiques - il y en a un très bon, par exemple, rue du Maréchal Joffre à proximité du Rond Point. </b></div>
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<b>Enfin, on peu regretter certains extras pratiqués par l'établissement : les desserts hors formules ne sont pas biens indiqués, supplément d'un euro pour la sauce piquante... A tester tout de même, au moins pour l'exotisme du repas et la bonne humeur du personnel. </b></div>
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<br /></div>
<table cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="float: left; margin-right: 1em; text-align: left;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgnsGMBepzuAWFqbhwmf3UqskBzs8llbZXTGgiTaA4v1kTWb2aDyMBajKey9vFkLWep3kdbMp3TQmdPeCCzQdFeC1NCYu7JoogTrTb-w0Pc_JGKMNQw-VGQ4pUi0rmwYrFHJMSdKNmJQGaV/s1600/IMG_20130213_132403.jpg" style="clear: left; margin-bottom: 1em; margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgnsGMBepzuAWFqbhwmf3UqskBzs8llbZXTGgiTaA4v1kTWb2aDyMBajKey9vFkLWep3kdbMp3TQmdPeCCzQdFeC1NCYu7JoogTrTb-w0Pc_JGKMNQw-VGQ4pUi0rmwYrFHJMSdKNmJQGaV/s640/IMG_20130213_132403.jpg" width="490" /></a></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;">Tiens, le verre est vide ! C'est que le curry est bon !</td></tr>
</tbody></table>
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</div>
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<i>Le Boka, tramway Palais de Justice, 108 Rue Jules Siegfried, 76600 Le Havre - Ouvert le midi du lundi au vendredi, et le soir du mercredi au samedi.</i>
</div>
Gwilhhttp://www.blogger.com/profile/13353328183577514416noreply@blogger.com0Centre Ville, 76600 Le Havre, France49.491866167640318 0.1180815696716308649.490577167640318 0.11556006967163086 49.493155167640317 0.12060306967163086tag:blogger.com,1999:blog-1710813763811838173.post-56361308472368770672013-02-09T16:28:00.002+01:002013-02-10T00:19:59.922+01:00Royal Revolt ! Que la bataille pour le royaume commence !<div style="text-align: justify;">
Il est dans le domaine ludique - jeux de plateau, de cartes, vidéo... - un thème récurrent et universel que celui de la chevalerie. Qui, en effet, n'a jamais rêvé d'aller secourir une princesse en détresse dans un univers médiéval fantasy, tel Mario... euh... Romualdo allant rejoindre la belle et néanmoins intrépide Fantagaro dans la <i><a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/La_Caverne_de_la_rose_d%27or">Caverne de la Rose d'Or</a></i> ? Qui n'a jamais rêvé de se faire acclamer par toute un peuple en entrant sur un terrain de joute, <i>We Will Rock You</i> de Queen retentissant dans le stade, tel Heath Ledger dans <a href="http://www.imdb.fr/title/tt0183790/"><i>Chevalier</i></a> ? <br />
<br />
Ne vous cachez pas, je vois les étoiles scintiller dans vos yeux. J'ai une bonne nouvelle pour vous. <a href="https://play.google.com/store/apps/details?id=com.flaregames.royalrevolt&hl=fr"><i>Royal Revolt !</i></a> c'est un peu de tout cela à la fois, saupoudré d'épiques batailles à la <i><a href="http://www.imdb.fr/title/tt0167260/?ref_=fn_al_tt_4">Seigneurs des Anneaux</a></i>. Car, oui, ce petit jeu, c'est un peu le <i>Retour du Roi</i>. Recrutez de fidèles soldats, et partez la reconquête de votre couronne !</div>
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<table cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="float: left; margin-right: 1em; text-align: left;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEitIRJJqACEZsRNPQKrJmBbcw124w_zWJaL72sklqRNWTuKPQ-e_KQsZ338JCM3yYyzXToqgkiLhhihbR-fGGQP6UPWcycKpiyH4DFcEdTOwWXtYlBJoqlzygx9fwl7aXC_jSVm-Y97_Um1/s1600/IMG_1792.JPG" imageanchor="1" style="clear: left; margin-bottom: 1em; margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEitIRJJqACEZsRNPQKrJmBbcw124w_zWJaL72sklqRNWTuKPQ-e_KQsZ338JCM3yYyzXToqgkiLhhihbR-fGGQP6UPWcycKpiyH4DFcEdTOwWXtYlBJoqlzygx9fwl7aXC_jSVm-Y97_Um1/s640/IMG_1792.JPG" width="490" /></a></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;">L'écran titre du jeu sur un Nexus 4. Oui. Un Nexus 4.</td></tr>
</tbody></table>
<div style="text-align: justify;">
L'histoire de <i>Royal Revolt ! </i>est simple, mais plutôt efficace. Un an avant les événements du jeu, votre père, le Roi, vous envoi dans un pensionnat pour jeunes aristocrates gâtés et maladroits. Vous y apprenez l'art de la guerre et de la politique, devenant un fieffé souverain. Malheureusement, votre père décède, et lorsque vous revenez en votre royaume, diplôme de Roi en poche, vos oncles et tantes vous écartent du trône. Mais vous avez décidé de ne pas vous laisser faire. Vous êtes désormais assez grand et mature pour gérer les affaires de votre royaume comme vous l’entendez. Heureusement, une partie de votre peuple vous est resté loyal et est paré à vous prêter main forte dans votre quête de pouvoir. Que la bataille pour le royaume commence !<br />
<br />
La mécanique du jeu est simple à comprendre. La progression est très évolutive, les premiers niveau n'étant que des tutoriels vous permettant de vous familiariser avec les rouages du commandement de l'armée. <i>Royal Revolt !</i> se situe entre un A-RPG, un hack'n'slash à la <a href="http://eu.battle.net/d3/fr/"><i>Diablo</i></a><i> </i>et un jeu de stratégie en temps réel. Le résultat se rapproche d'un tower defense inversé, ou vous ne jouez pas le rôle du défenseur devant ralentir la progression d'unités ennemis en construisant des tourelles sur leur chemin, mais, au contraire, d'un attaquant devant détruire les unités disposées par votre ennemi afin de parvenir jusqu'au porte de son château, et le débusquer.</div>
<br />
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Votre rôle de leader charismatique vous confère toute sorte de pouvoir, comme soigner vos alliés, lancer des boules de feu pour brûler des barricades en bois, donner des coup de marteau pour détruire les murs en pierres, empoisonner vos ennemis... Mais voilà. Vous n'êtes limité qu'à deux pouvoirs actifs. A vous de choisir quelles capacités utiliser durant la partie afin de bâtir la meilleure stratégie possible. Ces pouvoirs peuvent être améliorés, moyennant quelques pièces d'or accumulées durant vos divers pillages.</div>
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<br /></div>
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Il en va de même pour les unités que vous employez. Vous commencerez votre partie avec de simples soldats, tout droit sortis des champs avoisinants, munis de fourches pour attaquer vos ennemis. Viendront ensuite se joindre des archers, des mages, puis des balistes. Chacune de ces unités évolue au gré de l'or que vous y investissez, les soldats devenant chevaliers, les archers des rangers, les balistes des canons... Enfin, de la même manière, vous pouvez améliorer votre propre équipement, vous permettant ainsi d'améliorer votre charisme, votre défense, et votre attaque.</div>
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<br /></div>
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<table cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="float: left; text-align: left;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgeAIJTyMwcqtte1NUOdFSoTAWl4RQbVpkCN52RFpk14YBaroQg0J0a8WmemNBmDslc98a0rft8tfvEkpboy71ypg2RrphXDn85oK_GwGbwiYUxl8sHmQVaN7xjv9mKS-ju2qbJdnja1E_S/s1600/2013-02-07+21.10.41.png" imageanchor="1" style="clear: left; margin-bottom: 1em; margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgeAIJTyMwcqtte1NUOdFSoTAWl4RQbVpkCN52RFpk14YBaroQg0J0a8WmemNBmDslc98a0rft8tfvEkpboy71ypg2RrphXDn85oK_GwGbwiYUxl8sHmQVaN7xjv9mKS-ju2qbJdnja1E_S/s640/2013-02-07+21.10.41.png" width="490" /></a></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;">Il parait qu'il y a une grosse teuf dans ce château. On y va ?</td></tr>
</tbody></table>
Lorsque vous débutez un assaut, vous êtes seul sur le champ de bataille. Une petite jauge bleu en bas de votre écran - la jauge de charisme - vous indique à quel moment vous pouvez appeler à votre rescousse une unité supplémentaire. Cela va très vite : dès le début vous pouvez ainsi convoquer trois ou quatre soldats, voire un ou deux archers. La jauge se remplie régulièrement, aussi, il vous faut appeler des unités environ toutes les deux à trois secondes. Le but est de se retrouver avec le plus d'unités possibles devant les portes du château, afin que son occupant capitule le plus rapidement possible.</div>
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<br /></div>
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D'un point de vu technique, le jeu est extrêmement bien réalisé. Les graphismes, colorés et enfantins, sont tout de même d'une complexité impressionnante pour un jeu sur smartphone, mélangeant habilement 3D et textures d'une finesse remarquable. Le jeu est très agréable à jouer, la difficulté est très bien dosée. Si certains niveaux vous paraîtront facile, d'autres constitueront de vrais défis. La durée de vie du jeu est fortement allongée par la rejouabilité de ses niveaux. Vous aurez en effet plusieurs prétextes pour recommencer un assaut : obtenir les trois étoiles, gagner plus de pièces d'or, battre de nouveaux records...</div>
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<i><br /></i></div>
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Le jeu est gratuit. Il a donc des fonctionnalités d'<i>in-app purchase</i>, matérialisées par une boutique. Cependant, vous ne serez pas harcelé de pubs intempestives, ni de lourdes incitations à délier votre bourse à euros pour acheter des pièces d'or. De plus, il n'est pas très compliqué de se fournir en précieux métal jaune. En effet, des défis journaliers vous rapportent bon nombre de piécettes. De plus, si vous lancez l'application au moins une fois par jour, vous gagnerez d'autres pièces d'or. Enfin, le partage de vos scores sur le réseau social <i>Facebook</i> vous permet de gagner dix pour cent d'or supplémentaire. A mon sens, l'achat d'or n'est pas à conseiller, l'intérêt et la durée de vie du jeu s'en trouveraient réduits.<br />
<b><br /></b>
<br />
<div style="text-align: justify;">
<b><i>Royal Revolt !</i> est un excellent jeu, disponible gratuitement tant pour </b><b><b><a href="https://itunes.apple.com/fr/app/royal-revolt%21/id545670708?mt=8">iOS</a> </b> qu'</b><b><b><a href="https://play.google.com/store/apps/details?id=com.flaregames.royalrevolt&hl=fr">Android</a> </b>et qui vous procurera des heures de plaisir vidéoludique.</b> <b>Prenez votre épée, travaillez votre charisme, amassez un maximum de pièces d'or et entrainez votre armée pour reconquérir votre trône !</b></div>
</div>
<table cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="float: left; margin-right: 1em; text-align: left;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEieIzwrFFnpiGBKgBPXjNedCADsWl0BhVNsN8Kwfualpy6kOQFXqt5n67ZAQvDRGfdWZo7iqUtD9W-CVNcxI7J1M6OIRbgnMiYbzArEzwRu_XNjsoeC6RbOWH2ew3nkuOC9ABB1EVGk9xcn/s1600/2013-02-07+21.33.06.png" imageanchor="1" style="clear: left; margin-bottom: 1em; margin-left: auto; margin-right: auto;"> <img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEieIzwrFFnpiGBKgBPXjNedCADsWl0BhVNsN8Kwfualpy6kOQFXqt5n67ZAQvDRGfdWZo7iqUtD9W-CVNcxI7J1M6OIRbgnMiYbzArEzwRu_XNjsoeC6RbOWH2ew3nkuOC9ABB1EVGk9xcn/s640/2013-02-07+21.33.06.png" width="490" /></a></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;">Non, ce n'est pas la route des château de la Loire.</td></tr>
</tbody></table>
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;">
</div>
<div style="text-align: justify;">
<i>Royal Revolt ! est édité par Flare Games. Disponible gratuitement sur le Google Play Store et l'Apple App Store.
</i></div>
Gwilhhttp://www.blogger.com/profile/13353328183577514416noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1710813763811838173.post-44575015096142985342013-02-02T17:14:00.002+01:002013-02-16T17:12:16.017+01:00Shadows over Camelot, quand les chevaliers jouent aux cartes autour d'une table ronde<div style="text-align: justify;">
Comme j'aime à le rappeler, l'hiver est la saison où les nuits sont les plus longues. Accessoirement les plus froides, aussi. Ces longues nuits nous empêchent de profiter pleinement du jour. C'est un fait. Que dis-je, un lieu commun. Heureusement, certaines personnes bien attentionnées passent leur temps à inventer des moyens de passer le temps. Les auteurs de jeux de sociétés font partie de ces gens biens.</div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Et parmi ces gens biens, il y a Serge Laget et Bruno Cathala. A eux deux, plus d'une cinquantaine de jeux à leur actif. Dans le monde ludophile français, on ne les présente plus. Ils sont, entre autre, co-auteurs du célèbre jeu coopératif <i>Les <a href="http://www.daysofwonder.com/shadowsovercamelot/fr/">Chevaliers de la Table Ronde</a></i>, édité en 2005 par <a href="http://www.daysofwonder.com/fr/">Days of Wonder</a>. Sept années plus tard, les deux compères remettent le couvert. Toujours dans le même univers, mais dans un jeu de cartes. </div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
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Dans <a href="http://www.daysofwonder.com/shadowsovercamelot/fr/card-game/"><i>Shadows over Camelot</i></a>, les ombres planent désormais sur les enfants des chevaliers originels. On raconte qu'aux quatre coins du royaume de nombreux dangers resurgissent. Les pictes et les saxons veulent étendre leur territoire, le dragon a brûlé une partie de la forêt de Brocéliande, le Graal n'a toujours pas été trouvé, et l'épée Excalibur a malencontreusement été égarée... Un magnifique héritage que l'on vous a légué là. Le décor est planté.</div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<table align="center" cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="margin-left: auto; margin-right: auto; text-align: center;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhpfx4CCleiEmkCy9_kLIzhwKF-RIgSBPx2uss_LxUkiE4Dx2SOYzzx-fZ-w4uzyZacoZO9WQCMqL5rE11Yl4OixPym4eQJi8qlFdCd7FI6xC-U4cCLIr9V1sacnmHGrTfWjTTJy6T3_ELm/s1600/2013-02-02+14.28.40.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhpfx4CCleiEmkCy9_kLIzhwKF-RIgSBPx2uss_LxUkiE4Dx2SOYzzx-fZ-w4uzyZacoZO9WQCMqL5rE11Yl4OixPym4eQJi8qlFdCd7FI6xC-U4cCLIr9V1sacnmHGrTfWjTTJy6T3_ELm/s640/2013-02-02+14.28.40.jpg" width="490" /></a></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;">Des cartes carrées, des cartes rectangulaires... Bref. Un jeu de cartes.</td></tr>
</tbody></table>
<div style="text-align: justify;">
Tout comme son aîné, <i>Shadows over Camelot</i> repose sur la coopération entre les joueurs. Au début de la partie, chacun tire une carte de rôle. Jusque là, ce n'est pas compliqué. Soit vous êtes un chevalier régulier, prêt à tout pour défendre votre royaume, soit vous êtes un avide félon dont le but n'est autre que de plonger la cité de Camelot dans les ténèbres. Le félon est d'ordinaire solitaire, à l'exception des parties à 7 joueurs ou deux félons peuvent composer le tour de table. Naturellement, à par lui-même, personne ne sait qui est ce traître, ce qui est d'autant plus amusant. Par ailleurs, il se peut qu'il n'y ait aucun félon durant une partie. Certaines cartes peuvent aussi faire changer de rôle aux chevaliers en cours de jeu, ce qui ne manque pas de provoquer de cocasses situations.</div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Une fois les rôles distribués, l'on place la pioche, composée de cartes carrées, au milieu de la table. Celle-ci représente les rumeurs. Les chevaliers ont, à tour de rôle, la possibilité d'effectuer une action parmi trois possible : écouter les rumeurs, partir en quête, ou accuser un autre joueur de félonie. Le but final étant de protéger son royaume contre toutes les menaces. Cet objectif est par ailleurs matérialisé par l'obtention de sept épées blanches. A l'inverse, la défaite du groupe et la victoire du félon est représentée par l'obtention d'épées noires. Sept épées noires, et il en fini du royaume de Camelot.</div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Toute la complexité du jeu consiste en l'attente du bon moment pour partir en quête. Pour cela, les chevaliers choisiront la plupart du temps d'écouter les rumeurs. Le joueur prend alors la première carte de la pioche des rumeurs et la pose à côté, face découverte. Le joueur suivant, qui piochera également une carte, la posera au-dessus de la précédente, masquant ainsi ses symboles, et ainsi de suite. Les cartes principales comportent diverses informations : le type de quête - empêcher une invasion de saxons, partir à la recherche du Graal... - le nombre d'épées pouvant être gagnées ou perdues, ainsi que la valeur de la rumeur. </div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<table align="center" cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="margin-left: auto; margin-right: auto; text-align: center;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg3F0OJI-xsan_bFv_EdULSCy2a-MZwLLsNqpoyfePbBxiO5dfRqX9_omoBqcBcmKyjspl2LrBbqo05SLgxtoLI0takV18vnIDRk_5oJLQscS8QtxidayPt_STPCmhm1hb47o_jJoPP0C5D/s1600/2013-02-02+16.51.27.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg3F0OJI-xsan_bFv_EdULSCy2a-MZwLLsNqpoyfePbBxiO5dfRqX9_omoBqcBcmKyjspl2LrBbqo05SLgxtoLI0takV18vnIDRk_5oJLQscS8QtxidayPt_STPCmhm1hb47o_jJoPP0C5D/s640/2013-02-02+16.51.27.jpg" width="490" /></a></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;">Chevalier ou félon ? De quel côté de la Force basculerez vous ?</td></tr>
</tbody></table>
<div style="text-align: justify;">
Lorsqu'un joueur décide de partir en quête, il doit alors trier les cartes et additionner les différentes valeurs de chacune des quêtes. La quête dont l'une des cartes se trouvait sur le dessus de la défausse à rumeurs constitue la quête principale : si le total de ses points se trouve être de 11, 12 ou 13, la quête est réussie et le groupe remporte le nombre d'épées blanches allouées. Dans le cas contraire, les épées seront noire. Les autres quêtes, considérées comme secondaires, ne rapportent aucune épée blanche, mais compte pour défaite si leur total dépasse 14.</div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
Vous l'aurez compris, ce jeu s'adresse à des personnes habiles en calcul mental. Et encore, je ne vous ai pas révélé toute la difficulté de cette boîte. En effet, certaines cartes de quête ont leur valeur remplacée par un point d'interrogation. D'une addition, nous passons alors à une équation, chacune de ces cartes se multipliant pour le résultat final. Par exemple, vous souhaitez partir à la chasse aux pictes et vous disposez d'une carte valorisée à deux points et trois cartes marquées d'un point d'interrogation. Cela vous donne la formule suivante : <i>2+3x3 (le nombre de cartes) = 11</i>. Oui les mathématiques sont cruelles. A cela, rajoutez les cartes Morgane, Merlin et consorts, qui viennent chacun leur tour perturber la partie, et vous aurez un jeu d'une grande complexité.</div>
<div style="text-align: justify;">
<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
<b>Je ne conseillerais donc pas Shadows over Camelot à tout le monde. Il faut aimer jouer avec les chiffres, avec les inconnues. Ou alors, il faut être le félon. Ce dernier à en effet le rôle le plus intéressant à mon sens, semer le doute dans la tête des autres. L'univers sert ici d'alibi à un jeu de réflexion et de mémoire, où l'ambiance, créée par les joueurs eux-même, est primordiale. De plus, même si une partie peut être jouée à deux - voire tout seul - le jeu à sept est de loin le plus intéressant. Si vous souhaitez vous lancer dans Shadows over Camelot, choisissez donc bien votre groupe d'amis. </b></div>
<br />
<table align="center" cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="margin-left: auto; margin-right: auto; text-align: center;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjEvh7d2pYgtl2BhfqTy1Bt1grMz8J2MZKh53olXPcy73dNZyuNpQFNCuO4h9NN5_Ybhrq9UG_3gnrn1ir6l_zaoXW0SCFSMcHYPZaeeQGI9tUQI-vAHmZnrN3nHkVNjWvfMf335iCFMmwK/s1600/2013-02-02+14.30.28.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjEvh7d2pYgtl2BhfqTy1Bt1grMz8J2MZKh53olXPcy73dNZyuNpQFNCuO4h9NN5_Ybhrq9UG_3gnrn1ir6l_zaoXW0SCFSMcHYPZaeeQGI9tUQI-vAHmZnrN3nHkVNjWvfMf335iCFMmwK/s640/2013-02-02+14.30.28.jpg" width="490" /></a></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;">Une partie à deux qui débute bien mal... Enfin, pas pour le félon.</td></tr>
</tbody></table>
<div style="text-align: justify;">
<i>Shadows over Camelot, de Serge Laget et Bruno Cathala, édité par Days of Wonder, environ 20 euros dans toutes les bonnes échoppes. De 1 à 7 joueurs, à partir de 8 ans. Une vingtaine de minutes par partie.</i></div>
Gwilhhttp://www.blogger.com/profile/13353328183577514416noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1710813763811838173.post-43868717616724925872013-01-27T11:02:00.000+01:002013-01-27T22:54:25.490+01:00La Crêperie Soizic, ses galettes sont magiques<div style="text-align: justify;">
Il y a un an environ, j'écrivais en ces colonnes le commencement de ma quête de racines culinaires : la recherche d'une bonne crêperie au Havre. Mon premier essai fût plutôt concluant. En effet, <a href="http://www.gwilhermalleonad.net/2012/03/la-bigouden.html">la Bigouden</a> propose sans chichi de bonnes galettes à déguster seul ou entre amis. Je me suis essayé depuis à plusieurs autres échoppes, avec plus ou moins de réussite. Mais aucune autre crêperie ne m'a réellement convaincu. </div>
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Jusqu'au jour où je franchis le seuil de la <a href="http://www.creperie-soizic.fr/">Crêperie Soizic</a>. Accueilli par Françoise, la tenancière du lieu, je m'assis à une petite table, au coin de la pièce principale. La patronne a toujours une petite anecdote à raconter, et rappelle ô combien cet endroit est chaleureux et accueillant. Décoré avec goût, même. Après avoir jeté mon prime dévolu sur un pichet et une bolée de cidre brut, je me mis en quête de mon hors d’œuvre au sarrasin le long d'une carte bien fournie. </div>
<br />
<table align="center" cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="float: left; margin-right: 1em; text-align: left;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiK6ySm_RpLEgq5pM9ZZ2H290S6So4BZPyrH8eZ6xOZzl3glnaqWlC0pc9lEuN15sA1Nh9tJE6r1tIxsY-4I1zZ4bFV_GOi9sVZzCAl0KYvjRD9OvZLrO_LNiyu4FJmZ_xRTY3ToTLlDEFk/s400/IMG_20120309_123847.jpg" style="margin-left: auto; margin-right: auto;" width="490" /></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;">Une copieuse galette tartiflette, idéale en cette période hivernale</td></tr>
</tbody></table>
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La carte. Parlons<b>-</b>en. La deuxième page de couverture nous apprend que chaque galette et chaque crêpe servie dans ce restaurant est élaborée à base d'une farine artisanale, produite dans un moulin traditionnel de la Cornouaille finistérienne. Un bon point. Les matières premières utilisées dans les plats de la maison sont donc de qualité. Les galettes sont réparties entre différentes rubriques, suivant leur ingrédient principal : fromage, viande, produits de la mer... Et il y a les traditionnelles, complètes, jambon-œuf, ou tout simplement au beurre salé.</div>
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L'hiver étant plutôt rude cette année - et ayant besoin d'une bonne excuse pour manger grassement - j’optais pour une galette tartiflette, à base de fromage et jambon de montagne, ajoutés à des pommes de terre. En effet, la farine artisanale fait la différence. Sur l’aspect, plus rustique, mais également sur le goût, excellent. Pour me conforter dans mon opinion, je pris une galette nature. Confirmation. La galette se tient, elle est souple, bien cuite. Succulente. </div>
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Je commandas enfin une crêpe de froment dessert aux deux chocolats. Blanc et noir. La crêpe duo. Tout gourmand qui se respecte ne peut que tomber sous le charme de ce met. Le dosage est parfait, la rencontre magique. On en redemande. D'ailleurs, on en recommande une. Puis on se lève de table avec cette impression d'avoir abusé des bonnes choses, mais d'en être pleinement satisfait. </div>
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<b>La Crêperie Soizic propose également plusieurs formules allant de 9,70€ à 12,60€, comprenant une ou deux galettes, une crêpe, et une boisson. Une façon avantageuse de découvrir cet établissement. Une excellente cantine bretonne, à n'en point douter.</b></div>
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<table cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="float: left; margin-right: 1em; text-align: left;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEipJ7ogM1GJRmvkWi0ChPTbkH5z2xZLFtrH_YMp3OCQbcaFbxG_FaBhyvRDTG4-oTGbD8PfKt8F_KO5yekGtIBDfAfR02SVNrEhQY32DZ-SwlgnhYzgPtugcoZaGK2iELTs4zmbEsyyHoDb/s1600/IMG_20120309_131313.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; margin-bottom: 1em; margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEipJ7ogM1GJRmvkWi0ChPTbkH5z2xZLFtrH_YMp3OCQbcaFbxG_FaBhyvRDTG4-oTGbD8PfKt8F_KO5yekGtIBDfAfR02SVNrEhQY32DZ-SwlgnhYzgPtugcoZaGK2iELTs4zmbEsyyHoDb/s400/IMG_20120309_131313.jpg" width="490" /></a></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;">La crêpe aux deux chocolats fera fondre vos papilles</td></tr>
</tbody></table>
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<i>Crêperie Soizic, Quartier Saint-François, 17 Rue Jean de la Fontaine, 76600 Le Havre - Ouvert midi et soir du mardi au vendredi, et les lundi et samedi soirs.</i></div>
Gwilhhttp://www.blogger.com/profile/13353328183577514416noreply@blogger.com0Le Havre, France49.49437 0.1079290000000128249.4118635 -0.053432499999987171 49.576876500000004 0.26929050000001281tag:blogger.com,1999:blog-1710813763811838173.post-48082032570664589362013-01-19T16:19:00.000+01:002013-01-21T22:28:03.289+01:00Le #TwittLH, ça tweet au Havre !<div style="text-align: justify;">
La twittosphère havraise est en ébullition. Les twittos se déchaînent et trépignent d'impatience sur leur petits fauteuils, pianotant fébrilement sur l'écran <i>Gorilla Glass</i> de leur smartphone. Ce syndrome se retrouve cycliquement, environ une fois par trimestre. Car oui, un évènement régulier déclenche la fièvre du tweet sur le ville du Havre.</div>
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<br /></div>
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Cet événement, c'est le <a href="http://plus.google.com/u/0/events/c0qpslnln9bckbtvmtupjp6klfo">#TwittLH</a>. Un twapéro - ou un twunch, c'est selon - havrais, sorte de rencontre informelle entre les utilisateurs de réseau social <i>Twitter</i> du Havre et de sa région. Si l'on se réfère à l'historique donné par le site <a href="http://twun.ch/">twun.ch</a>, qui n'est malheureusement plus maintenu à ce jour, six rassemblements de ce type ont déjà eu lieu depuis juin 2011. Celles-ci ont, pour la plupart, été organisée d'une main de maître, et avec brio, par Nadège, alias<a href="https://twitter.com/nadeparis"> </a><a href="https://twitter.com/nadeparis">@nadeparis</a>.</div>
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La septième édition aura lieu vendredi prochain, le 25 janvier donc, au pub <a href="http://www.sortirauhavre.com/sortirauhavre-lieu.php?id=603"><i>Beer & Billards</i></a>, aux alentours de 20h30. L'occasion pour les twittos du Havre de se retrouver <i>In Real Life</i> autour d'une bonne pinte de bière - ou autre - et d'échanger sur les sujets chauds qui ont fait le buzz de ces derniers mois sur la toile et le réseau. Ou encore, le lieu s'y prétant, pourquoi pas une petite partie de billard ?<br />
<br />
<b>Ami twittos, ami du Havre, le 25 janvier, vaincs ta timidité, quitte ton écran, sors de chez toi et n'hésites pas à franchir le pas. Rejoins-nous au #TwittLH ! Si vous le souhaitez, vous pouvez, dès à présent, annoncer votre venue sur <a href="https://plus.google.com/115993860130402512908/about?gl=fr&hl=fr">la page Google Plus de l’événement</a>. </b><br />
<br />
<b>Et pour patienter jusque là, allez voir <a href="http://julienauquotidien.over-blog.fr/article-twittlh-114607019.html">le petit dessin</a> de notre blogueur-dessinateur favori, <a href="https://twitter.com/JulienQuotidien">@JulienQuotidien</a> ! </b></div>
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<table cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="float: left; margin-right: 1em; text-align: left;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiyr9S7J9-HNBQTOLS2lTCIL3EGAGhcq4RVtbmFWggQKYhvZomfbnOAQFR31rWAglLWm5jW8-TeVYLutwlEL0helKW0iQ5MUBccCNQlyhE_AgUidX3aRvtAZe4GJd3OGOb3KhWSoxuNqlOy/s1600/Capture+du+2013-01-19+13:53:04.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; margin-bottom: 1em; margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiyr9S7J9-HNBQTOLS2lTCIL3EGAGhcq4RVtbmFWggQKYhvZomfbnOAQFR31rWAglLWm5jW8-TeVYLutwlEL0helKW0iQ5MUBccCNQlyhE_AgUidX3aRvtAZe4GJd3OGOb3KhWSoxuNqlOy/s640/Capture+du+2013-01-19+13:53:04.jpg" width="490" /></a></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;">La page Google+ annonçant l'évènement Twitter. Oui, ça manque un peu de cohérence. :-P</td></tr>
</tbody></table>
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<i>Le #TwittLH, vendredi 25 janvier 2013 à partir de 20h30, au Beer & Billards, 96 Avenue René Coty, 76600 Le Havre.</i></div>
Gwilhhttp://www.blogger.com/profile/13353328183577514416noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1710813763811838173.post-88346249919011207022013-01-12T17:22:00.005+01:002013-01-12T17:22:58.270+01:00Le Whoopies Diner, ses burgers nous laissent rêveurs...<div style="text-align: justify;">
Il est des repas où l'on a envie de se faire plaisir. Mais d'un plaisir malsain. Coupable. Envie de se faire un bon vieux burger bien <i>junk</i>, bien gras. Un de ces monticules qui calent l'estomac d'un régiment. La solution de facilité, car devant un tel appétit nous restons faibles, est de se rendre au McDo, ou bien, par défaut, au Quick le plus proche. </div>
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Et là, je vous arrête. Non, ami havrais ! Ne cède pas à la tentation d'un plaisir facile, mais tellement petit ! Il existe, dans ta ville, une adresse, que dis-je, l'eldorado de l'hambourgeois à l'américaine. Bienvenue au <a href="https://www.facebook.com/WhoopiesDiner">Whoopies Diner</a>.</div>
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Cette échoppe de la rue Émile Zola, située à deux pas de l’<a href="http://www.ecole-management-normandie.fr/">École de Management de Normandie</a> et de l’<a href="http://www.culture.gouv.fr/culture/inventai/itiinv/archixx/pann/p50.htm">Église Saint-Joseph</a>, ne peut pas échapper à votre regard. Ses couleurs flashies rappellent sans nul doute les étals des vendeurs de milk-shake dans les films américains des années 50. Quoique, le cinéma de l'époque devait être en noir et blanc. Bref, vous entrez dans un véritable <i>diner</i>. </div>
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Une fois à l'intérieur, Franck et Hervé vous accueillent. Et, si vous avez de la chance, ils vous conduiront à votre table. C'est que l'adresse commence à être réputée dans le domaine de la gastronomie havraise : il est des midis ou plus aucune place n'est disponible. Dans le doute, pensez toujours à réserver au préalable. </div>
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Mais pourquoi un tel engouement, me direz-vous ? Il faut dire que le Whoopies propose un large choix de burgers de toutes sortes. Il y en a pour tous les goûts, tous les appétits et toutes les bourses : du cheeseburger classique, en passant par sa variante au filet de poisson pané, aux buns garnis de banane et de fromage <i>Philadelphia</i>, ou encore le désormais classique mais néanmoins copieux <i>Homer Burger</i>, doté de 800 grammes de steaks hachés. Ne vous en faites pas mesdames, vous qui craignez de ne pouvoir vous déplacer en maillot de bain sur le plage de <a href="http://www.gwilhermalleonad.net/2011/03/tapis-volant-24-la-decouverte-du-havre.html">Sainte-Adresse</a> cet été, la patron vous a concocté de magnifiques salades répondant aux doux prénoms de Bree, Susan, Gaby ou encore Lynette. Ne faites pas les innocentes, je sais que cela vous dit quelque chose. </div>
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Au delà de sa carte, l'esprit du Whoopies réside en la qualité de ses produit, de ses matières premières. En effet, la viande est produite localement, les buns sont mitonnés par un boulanger havrais tout proche du restaurant, les pommes de terre sont choisies avec soin. De quoi rendre votre repas mémorable. Les boissons sont aussi à l'image du thème : à côté du classique <i>Coca-Cola</i>, les amateurs de bières pourront déguster une <i>Bud</i> ou une <i>Duff</i>. La carte des desserts semble un peu en deçà du reste : au choix, donuts ou milk-shakes. Seulement, me direz-vous. Oui, mais les milk-shakes valent leur pesant de cacahuètes. Surtout celui au beurre de cacahuète, justement. Mais libre à vous de choisir : kiwi, fraise, café, <i>Get 27</i>, <i>Oréo</i>...</div>
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Le Whoopies Diner organise régulièrement des soirées à thèmes, comme pour Halloween ou Thanksgiving. Également, tous les dimanches entre 11h et 15h, le restaurant vous propose son brunch américain, avec buffet à volonté. Un must !</div>
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<b>Entre restauration rapide et repas de qualité préparé méticuleusement, le Whoopies Diner comblera tous les amateurs de gastronomie nord-américaine. Au delà de cet aspect, c'est également un excellent restaurant à viande : tous les steaks des burgers sont servis à la cuisson souhaitée, et le goût est succulent. Le tout, dans une atmosphère décontractée. Je recommande.</b></div>
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<table cellpadding="0" cellspacing="0" class="tr-caption-container" style="float: left; margin-right: 1em; text-align: left;"><tbody>
<tr><td style="text-align: center;"><a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjV7aLv-eug8kmnap0UJb03KaflEkBMG63oJP3n7fTfE6Ksb3S9oIgvfx3LUjt2fNLXp_cZcTYMEgUEyh3RgoqQkFg9YvrqHgwrxeClOjRAlZ3aH6ojlPJQqCa_lOGrIJoK0vxPmzDMBOA6/s1600/IMG_20130102_125543.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; margin-bottom: 1em; margin-left: auto; margin-right: auto;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjV7aLv-eug8kmnap0UJb03KaflEkBMG63oJP3n7fTfE6Ksb3S9oIgvfx3LUjt2fNLXp_cZcTYMEgUEyh3RgoqQkFg9YvrqHgwrxeClOjRAlZ3aH6ojlPJQqCa_lOGrIJoK0vxPmzDMBOA6/s640/IMG_20130102_125543.jpg" width="490" /></a></td></tr>
<tr><td class="tr-caption" style="text-align: center;">Le Obama Burger du Whoopies Diner, il casse la baraque !</td></tr>
</tbody></table>
<i>Le Whoopies Diner, 16 Rue Emile Zola, 76600 Le Havre - Ouvert midi et soir du mardi au dimanche, nocturnes le vendredi et le samedi.</i><br />
Gwilhhttp://www.blogger.com/profile/13353328183577514416noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1710813763811838173.post-3121308104757174562013-01-05T15:03:00.000+01:002013-01-09T16:44:13.945+01:00Les Princes de Catane : tout est bon dans l'colon !<div style="text-align: justify;">
L'hiver est une saison formidable. Certes, il faut le dire bien vite pour y croire. En ce qui me concerne, cette période de la révolution de notre planète autour du soleil est loin d'être ma préférée. Le printemps, c'est plus sympa, les oiseaux y gazouillent, les bourgeons naissent dans les arbres et sur certains visages adolescents, la nature se réveille... Mais là, je m'égare. </div>
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L'hiver permet bien une chose : profiter de longues soirées, au coin du feu ou d'un radiateur au gaz, pour s'adonner à des plaisirs fous, tels que boire de la bière et jouer à des jeux de sociétés. C'est en préparant mes courses de Noël dans une de mes <a href="https://www.facebook.com/LabelBullesPileEtFace">échoppes havraises</a> favorites que mes yeux se sont arrêtés sur une petite boite carrée et rouge. Une boite de jeu.</div>
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<i><a href="http://asmodee.com/ressources/articles/les-princes-de-catane-a-deux-c-est-mieux.php">"Les Princes de Catane"</a></i> y lis-je. Il s'agit de la nouvelle version des<i> Colons de Catane</i>, un jeu de cartes dans l'univers du très connu jeu de gestion de ressources <i>Catane</i>. Et pour 2 joueurs qui plus est. En somme, un bon moyen de se divertir lorsque l'on est pas nombreux à la maison. Ni une, ni deux, j'embarque la boite chez moi.</div>
<br />
<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjaeAe_c_1cRqAJnMCI_7g9EL8gJKEfquw2IEpoNLn71QTEuWYZ91tfye1fwb1fPkjvBilSPJ4nPANlWoJWVxRicmo_uzHRbAEUXIwGe6sMVFO9ocLQA5FkTLue_wn0qX0gERvDN1TMpvM4/s1600/IMG_20121202_103731.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjaeAe_c_1cRqAJnMCI_7g9EL8gJKEfquw2IEpoNLn71QTEuWYZ91tfye1fwb1fPkjvBilSPJ4nPANlWoJWVxRicmo_uzHRbAEUXIwGe6sMVFO9ocLQA5FkTLue_wn0qX0gERvDN1TMpvM4/s640/IMG_20121202_103731.jpg" width="490" /></a><b> Le jeu et sa mise en place</b><br />
<br />
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Le jeu comporte 180 cartes : 94 cartes composent l'ensemble de base, le reste est réparti en trois ensembles thématiques. Dans la boite, nous trouvons également 2 jetons en bois, 1 dé numéroté et 1 dé d’événement.</div>
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<br /></div>
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Le but du jeu est de faire prospérer sa colonie, en plaçant judicieusement les cartes devant soi et en gérant astucieusement la récolte de nouvelles ressources, afin de remporter des points de victoires. Le joueur gagnant est le premier qui a remporté un certain nombre de points de Victoire.</div>
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D'un premier abord complexe, le jeu est néanmoins bien pensé. En effet, la règle du jeu comporte une première partie d'introduction permettant aux princes de bien comprendre les rudiments de la gestion de leur colonie. Chaque joueur débute avec une principauté construite de manière identique : deux villages valant chacun 1 point de Victoire, une route entre les deux, et 6 parcelles produisant des unités de ressources différentes, telles que des pierres, du bois, de la laine, du blé, des briques ou encore des pépites d'or.</div>
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<b>Déroulement de la partie</b></div>
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Chaque joueur joue à tour de rôle, bien que les actions de l'un puissent influer sur la production de ressources de l'autre.</div>
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Le premier joueur commence par lancer les dés. Le dé numéroté détermine la production de ressource des joueurs pour ce tour. Les parcelles de ressources sont numérotées : les joueurs reçoivent chacun une unité correspondant au numéro de la parcelle concernée par le lancé de dé. L'autre dé déclenche un événement qui peut être soit déterminé par le dé lui-même (comme une attaque de voleur, une célébration...), soit par la pioche d'une carte. Ces événements introduisent un aléa dans la production de ressources de chacune des principautés.<br />
<br /></div>
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiqVgUcZozkltWWNdy8w_K2hAyE7F-7-WxpUR7f1Mg73pYo_uHV5l9Rip4Qdp4nP_khgZ1wiSea1gRUZBrIomtHOlkm3IU7yE7ClJwKh9H5MEMz-9vfPSNXlOB4IMx0f0OjrreqXJOgyN0f/s1600/IMG_20121202_194759.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiqVgUcZozkltWWNdy8w_K2hAyE7F-7-WxpUR7f1Mg73pYo_uHV5l9Rip4Qdp4nP_khgZ1wiSea1gRUZBrIomtHOlkm3IU7yE7ClJwKh9H5MEMz-9vfPSNXlOB4IMx0f0OjrreqXJOgyN0f/s640/IMG_20121202_194759.jpg" width="490" /></a></div>
<div style="text-align: justify;">
Vient ensuite la deuxième phase du tour. Le joueur utilise les cartes qu'il a en main. Celles-ci lui permettent de construire de nouveaux villages, de construire des routes, ou d'installer des bâtiments qui permettront d'améliorer la production de ressources. Certaines cartes autorisent également certains mouvement spéciaux, comme un déménagement des parcelles de production, aux fins d'optimiser l'espace alloué au joueur. Chaque joueur peut construire 2 bâtiments ou améliorations par village, et 4 par ville. Par ailleurs, la transformation d'un village en ville permet au prince d'amasser un point de Victoire supplémentaire. Certaines améliorations permettent de cumuler des points de Force et des points de Commerce : le joueur ayant l'avantage dans l'une des catégories prend le jeton correspondant (hache ou balance), valant également point de Victoire.</div>
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<br /></div>
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A la fin de son tour, le prince ne doit avoir qu'un nombre de carte limité dans sa main, 3 au début de la partie. Ainsi, il remet des cartes dans une pioche s’il en a trop, ou en pioche quelques une s'il lui en manque. Il a également le loisir d'échanger une de ses cartes à chacun de ses tours.</div>
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<br /></div>
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<b>Une mécanique bien huilée et évolutive</b></div>
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Même dans le cadre de la partie introductive, le jeu procure de longue minutes de plaisirs et de réflexion. Deux ou trois parties seront cependant nécessaires à la bonne maîtrise de tous ses mécanismes. Une fois cela acquit, vous pourrez incorporer de nouvelles cartes thématiques afin de pimenter le jeu.</div>
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<br /></div>
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L’<i>Ère de l'Or</i> introduit de nouveaux types de cartes et des conditions simples pour quelques cartes d'actions. L’<i>Ère de la Guerre</i> apporte des cartes intensifiant la confrontation entre les adversaires. L’<i>Ère du Progrès</i> ramène le calme dans la partie : chaque prince tente d'ériger d'importants bâtiments dans sa principauté. Une fois tous ces thèmes maîtrisés, toutes les cartes de la boite peuvent être mélangées et utilisées durant une même partie, c'est le <i>Duel des Princes</i>. </div>
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Il se murmure par ailleurs qu'une extension devrait voir le jour cette année. <i>Les Temps Sombres</i>, c'est son nom, devrait apporter une grande noirceur sur vos principautés. Les conflits entre princes ne feront que s'aggraver... Tout un programme !</div>
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<b><i>Les Princes de Catane</i> vont permettront de passer des soirées endiablées en petit comité. Certes, le jeu gagne encore plus d'intérêt lorsque l'on apprend à le maîtriser, mais il ravira également les néophytes, tant l'univers développé est fascinant et les variantes de jeu proposées amusantes.</b> </div>
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEitHrQM5DzzFFivJbNXDMCTmdqadn-Vl2Y_Z1QVyPBAjzogUaXtqGkfW6CGgT293mSlxHxZXGZoFht1TZnAcWsZaWgOHk8xVL87hGTT9ig6TEoeQdVLbGZ_nwl7hm6DMHS8QqXnYSQ6Jlk5/s1600/IMG_20121202_192652.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEitHrQM5DzzFFivJbNXDMCTmdqadn-Vl2Y_Z1QVyPBAjzogUaXtqGkfW6CGgT293mSlxHxZXGZoFht1TZnAcWsZaWgOHk8xVL87hGTT9ig6TEoeQdVLbGZ_nwl7hm6DMHS8QqXnYSQ6Jlk5/s640/IMG_20121202_192652.jpg" width="490" /></a><i>Les Princes de Catane, de Klaus Teuber, édité en France par Filosofia, environ 24 euros dans toutes les bonnes échoppes. A partir de 10 ans. Plus de 75 minutes par partie. </i></div>
Gwilhhttp://www.blogger.com/profile/13353328183577514416noreply@blogger.com2Le Havre, France49.49437 0.1079290000000128249.411864 -0.053432499999987171 49.576876000000006 0.26929050000001281tag:blogger.com,1999:blog-1710813763811838173.post-7364029328928477002012-11-02T14:00:00.000+01:002013-01-12T16:05:54.303+01:00Untappd, ou comment faire de la bière le meilleur des réseaux sociaux<div style="text-align: justify;">
La soirée d'Halloween avait déjà fort bien débuté. Quelques comptoirs havrais avaient décidé d'offrir une chopine gratuite à quiconque se présentait déguisé pour l'occasion. Ce fut notamment le cas pour le célèbre <a href="http://letrappist.over-blog.com/">Trappist</a>, bar à bières belges de renom, fourmillant d'une multitude de variétés de breuvages en bouteille et en pression.</div>
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C'est dans ce contexte particulier que le <a href="http://julienauquotidien.over-blog.fr/">blogueur-dessinateur</a> <a href="https://twitter.com/JulienQuotidien">@JulienQuotidien</a> nous fit part de sa toute dernière découverte. Sortant son smartphone - un Android, car cet homme a bon goût - il nous mit sous les yeux une interface dorée, ressemblant peu ou prou à celle du très usité <a href="https://foursquare.com/">Foursquare</a>. </div>
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<b>Sauf que le principe est ici différent. Il s'agit de faire des check-in avec de la bière.</b></div>
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Le fonctionnement d'<a href="http://untappd.com/">Untappd</a>, c'est le nom de cette application, est simple. A chaque nouvelle bière, un nouveau check-in ! L'appli dispose d'une base de données impressionnante, reposant notamment sur l'ajout de breuvages par les consommateurs. Mais en plus de cela, vous pouvez partager à d'autres utilisateurs du réseau vos impressions concernant telle ou telle chopine, en commentant et notant votre check-in. Un moyen sympathique de retenir le nom des bières que l'on a déjà goûté, et de ne plus tremper ses lèvres là où elles ne se sont pas trouvées à leur aise. </div>
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La fibre sociale de cette application permet également à vos amis de trinquer virtuellement avec vous, simplement en pressant la touche <i>Toast</i>. La fonction <i>The Pub</i> vous permet de connaitre les dernières bières consommées par vos amis, par les utilisateurs à proximité, ou encore par les <i>untappder</i>s du monde entier. </div>
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Une fonction <i>Discover</i> permet de répertorier les bières, les bars ou encore les brasseries se trouvant à proximité. Elle permet également de trouver des <i>Drinking Buddies</i> locaux (des potes de picole, en somme) ou encore de découvrir quelles bières ont le vent en poupe. Notez que cette dernière fonctionnalité permet de différencier les bières provenant de grosses brasseries industrielles des bières provenant de micro-brasseries artisanales.</div>
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L'onglet <i>My Tab</i> fait un récapitulatif de vos activités récentes et affiche votre profil, tandis que <i>Friends</i> vous permet de prendre connaissance de votre liste d'amis, et d'en trouver de nouveaux.</div>
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Par ailleurs, cette application fonctionne plutôt bien avec d'autres réseaux sociaux. Vous pouvez ainsi connecter votre compte Untappd à votre Twitter, Facebook ou Foursquare afin de partager au plus grand nombre votre amour de la bière. Par exemple, vous pouvez très bien prendre une <a href="http://untappd.com/beer/5991">Carlsberg</a> au <a href="https://fr.foursquare.com/v/black-caf%C3%A9/4bec4ade9a7bd13ab52f8868">Black Café</a>, faire un check-in qui sera partagé sur Foursquare, prendre votre chopine en photo et twitter votre exploit, tout en restant dans Untappd. On regrettera simplement que l'on ne puisse pas poster de photo sur Instgram ou partager sur Google+ via cette appli. </div>
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<b>Bref, si vous êtes un grand amateur de bière, et que vous souhaitez partager votre connaissance encyclopédique avec vos amis, Untappd est fait pour vous. Elle est multiplateforme, disponible pour <a href="https://itunes.apple.com/us/app/untappd/id449141888?mt=8">iOS</a>, <a href="https://play.google.com/store/apps/details?id=com.untappdllc.app&hl=en">Android</a>, ou <a href="http://m.untappd.com/">site mobile</a>. </b><br />
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<b><i>Vous pouvez également voir la <a href="http://www.happybeertime.com/untappd-le-reseau-social-pour-les-amoureux-de-la-biere/">présentation décalée</a> d'Untappd, faite par le webzine des amoureux de la bière <a href="http://www.happybeertime.com/">HappyBeerTime</a>. Et n'hésitez pas à nous faire partager vos pseudos et trouvailles dans les commentaires !</i> </b><br />
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgqiSjt-acBvypcSUKKOAEwAxOu4v2xXJLe8Bizk6dojk1PKQhiY1s3KgNZo496pTnR3oOExWYI7ZUK356nt2-De8bSYGUA_AsZalPpCuC9wtoq40ZpyzR1e7__Wvz0hRT7KflJ34WMuKzc/s1600/unnamed.jpg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgqiSjt-acBvypcSUKKOAEwAxOu4v2xXJLe8Bizk6dojk1PKQhiY1s3KgNZo496pTnR3oOExWYI7ZUK356nt2-De8bSYGUA_AsZalPpCuC9wtoq40ZpyzR1e7__Wvz0hRT7KflJ34WMuKzc/s400/unnamed.jpg" width="490" /></a></div>
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<i>« La bière est la preuve que Dieu nous aime et veut que nous soyons heureux. » B. Franklin.</i></div>
Gwilhhttp://www.blogger.com/profile/13353328183577514416noreply@blogger.com4Le Havre, France49.49437 0.10792949.4118615 -0.0499995 49.576878500000007 0.26585749999999997tag:blogger.com,1999:blog-1710813763811838173.post-16213455402528969592012-04-01T21:30:00.000+02:002012-04-01T21:30:00.032+02:00Participation aux Causeries de Capucine et Gnieark<div style="text-align: justify;">
Mercredi soir dernier, j'ai eu le plaisir de participer au huitième numéro du podcast <i><a href="http://causeries.tinad.fr/">"Les causeries de Capucine et Gnieark"</a></i>. Pour ceux qui ne connaissent pas encore ce merveilleux moment de culture hebdomadaire, sachez que ce podcast repose sur deux protagonistes, Capucine et Gnieark, devisant de thèmes divers et variés, parfois avec des invités. </div>
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Exceptionnellement, Capucine n'était pas là pour ce numéro. Mais pour pallier à cette absence, <a href="https://twitter.com/#!/gnieark">Gnieark</a> a donc convié deux invité, <a href="https://twitter.com/#!/dascritch">Dascritch</a> et moi-même, le temps d'un podcast sur les podcasts. Voici le paragraphe introductif de l'émission, que l'on peut retrouver sur le blog du podcast.</div>
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<i>Pour le 8ème podcast, le thème est le podcast justement.</i></div>
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<i>Pour ce sujet, Les invités sont: Guillaume (@Gwilh), dévoreur de mp3 et d’OGG, et Xavier (<a href="https://twitter.com/#!/dascritch">@dascritch</a>), un des pionnier du podcast, animateur sur radio FMR,. J’ai été ravi de tomber sur deux passionnés à ce sujet. Encore merci à eux! Perso j’ai appris plein de choses</i>.</div>
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Je vous laisse la joie de découvrir <a href="http://causeries.tinad.fr/?p=180">ce huitième opus</a> du podcast, qui dure tout de même une bonne heure, et vous invite à écouter les épisodes précédents !</div>
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<a href="http://causeries.tinad.fr/wp-content/uploads/2012/02/default_header.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" src="http://causeries.tinad.fr/wp-content/uploads/2012/02/default_header.jpg" width="450" /></a></div>
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<i>« L'artiste qui renonce à une heure de travail pour une heure de causerie avec un ami sait qu'il sacrifie une réalité pour quelque chose qui n'existe pas. » M. Proust.</i></div>
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</div>Gwilhhttp://www.blogger.com/profile/13353328183577514416noreply@blogger.com1tag:blogger.com,1999:blog-1710813763811838173.post-36925360132832015552012-03-14T10:28:00.000+01:002015-02-26T16:55:12.415+01:00Le cinéma, un paradoxe havrais<div style="text-align: justify;">
La décennie écoulée nous l'a intimé, Le Havre est une ville de cinéma. On ne compte plus le nombre de tournage ayant pour décors les rues du projet de ville imaginé par l'architecte Perret. Le dernier en date, sorti cette semaine dans les salles obscures, est un film de Lucas Belvaux, intitulé <a href="http://haute-normandie.france3.fr/info/38-temoins-un-nouveau-film-tourne-au-havre-72918660.html"><i>38</i> <i>Témoins</i></a>. L'année passée, le cinéaste finlandais Aki Kaurismäki a transporté sa bobine, éponymement intitulée<i> Le Havre</i>, de la Porte Océane à la sélection officielle du festival de Cannes. Plus axées grand public, on se souvient également des comédies <i>La Beuze</i> (2002) et <i>Disco </i>(2008), portées respectivement par les acteurs et humoristes Mickaël Youn et Franck Dubosc.</div>
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La télévision, elle aussi, s'intéresse à l'ambiance singulière dégagée par notre ville. Diffusée récemment sur France 2, la série <i>Deux flics sur les docks</i> rempile pour une deuxième saison. Les enquêtes policières, dirigées en duo par Jean-Marc Barr et Bruno Solo, sont actuellement tournées en extérieur. Le dessinateur-blogueur Julien, bien connu de la <a href="https://twitter.com/#!/JulienQuotidien">twittosphère</a> havraise, a d'ailleurs eu l'occasion de participer, en tant que <a href="http://julienauquotidien.over-blog.fr/article-figuration-suite-101441005.html">figurant</a>, à la réalisation d'une de ces scènes.</div>
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Oui mais voilà. Si la production cinématographique y semble florissante depuis plusieurs années, il n'en est pas de même de la projection et de l'exploitation des films dans les salles obscures havraises. La fréquentation n'est pas en cause, loin de là. Seul cinéma grand publique de la place, le Gaumont des Docks Vauban réalise sûrement un chiffre d'affaire confortable, eut égard au prix élevé d'une place plein tarif (plus de dix euros) et à l'affluence constatée dans la file d'attente le samedi soir. Bien sûr, me direz-vous, il y a également le <a href="http://sirius.over-blog.com/">Sirius</a>, proche de la gare et de l'université. Certes. Mais force est de constater que ce petit cinéma d'art et d'essai aux locaux d'apparence extérieure vétuste n'a pas les armes nécessaires pour rivaliser avec le mastodonte de la distribution cinématographique. </div>
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Il est donc seul. Oui. Le Gaumont des Docks Vauban est le seul cinéma grand public du Havre, ville de 177 259 habitants, dans une agglomération qui en compte 243 348. Et la solitude de cet exploitant se fait lourdement sentir. Comme le signale très justement sur <a href="http://lhupuspage.blogspot.fr/2012/01/gaumont-du-havre.html">son blog</a> Christophe, alias <a href="https://twitter.com/lhupus76">Lhupus</a>, le rapport qualité-prix des prestations proposées par le gestionnaires de ces salles laisse à désirer. D'autant que depuis le premier janvier dernier, les tarifs ont encore augmenté. Il faut en effet compter un euro supplémentaire pour une entrée bénéficiant d'un tarif préférentiel, soit six euros. Et ce, sans évoquer l'immanquable bonus 3D. Un peu de concurrence ne ferait pas de mal dans ce secteur d'activité...</div>
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Sur le blog d'un <a href="http://www.auhavre.com/blog2/index.php?post/2011/05/24/La-restructuration-du-cin%C3%A9ma-havrais-est-en-marche">élu local</a>, dont le contenu est tout aussi intéressant que les commentaires laissés presque sans modération, on apprend que le Sirius doit faire l'objet d'une rénovation. <i>"La restructuration du cinéma havrais est en marche"</i>, nous dit-on. Les commentateurs semblent sceptiques et dubitatifs. Certes, l'ancien multiplexe de Montivilliers sera transformé en cinéma communautaire, offrant 4 salles supplémentaires aux autochtones locaux, sous la houlette de <a href="http://www.noecinemas.com/">Noé Cinémas</a>, mais est-ce que ceci sera suffisant ?</div>
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Sincèrement, je ne pense pas. J'ai un profond respect pour Noé Cinémas, eut égard à ce qu'ils ont récemment accompli, notamment depuis la réouverture de l'Omnia à Rouen. Mais clairement, ils ne se positionnent pas sur le même créneau. A mon sens, seul un groupe national comme UGC, en proposant un service de qualité, en exploitant un équipement IMAX, et en pratiquant une politique tarifaire clémente envers les cinéphiles, pourrait instaurer la nécessaire concurrence en matière d'exploitation cinématographique au Havre. Une petite fée pourrait-elle me prêter sa baguette ?</div>
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj3eB8A3zOx-cVnarx_wUY_iZnQK0yMoCDXTr9avCI4dJsxHhUjg_qvM5yqrAu9KYbnJBYDRvntPrrY4fbbnQea8QNT2cxMIVYULsEo2zQCGHpBVITBobQZK5hsiOb4V4gU5ej1mCB_si4V/s1600/Havre_Fee.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEj3eB8A3zOx-cVnarx_wUY_iZnQK0yMoCDXTr9avCI4dJsxHhUjg_qvM5yqrAu9KYbnJBYDRvntPrrY4fbbnQea8QNT2cxMIVYULsEo2zQCGHpBVITBobQZK5hsiOb4V4gU5ej1mCB_si4V/s400/Havre_Fee.jpg" height="259" width="400" /></a></div>
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<i>« Le Havre porte la trace d’un grand projet humain, esthétique et moderniste, un peu comme le communisme : on sent que quelqu’un a pensé à faire vivre les gens ensemble. » D.Abel, un des réalisateurs de La Fée.</i></div>
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Gwilhhttp://www.blogger.com/profile/13353328183577514416noreply@blogger.com3tag:blogger.com,1999:blog-1710813763811838173.post-25767767664362753032012-03-01T14:00:00.000+01:002012-03-02T10:17:33.274+01:00La Bigouden<div style="text-align: justify;">
<i>Pour le breton hors de Bretagne que je suis, une crêperie est comme un phare dans le désert. Un petit bout de culture culinaire bretonne qui réchauffe le cœur des expatriés. Il est pourtant difficile de trouver la perle rare, la <a href="http://cuisine.larousse.fr/recettes/detail/krampouezh-ed-du">krampouezh ed du</a> qui vous fera saliver, tant l'office du crêpier peut sembler aléatoire selon les échoppes. Le maniement du <a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/Billig">billig</a> ne s'apprend pas en un jour. Débarquant fraîchement au Havre, me voici en quête d'une nouvelle cantine bretonne. La Bigouden sera mon premier essai... </i></div>
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Au premier abord extérieur, l'échoppe ne semble pas très accueillante. Perdue seule au bout de la Rue de Bretagne, dans le quartier <a href="http://www.gwilhermalleonad.net/2011/04/tapis-volant-25-la-decouverte-du-havre.html">Saint-François</a>, la devanture de la Bigouden dégage quelque chose de vieillot. L'oeuil non averti ignorera sans doute la boutique, mais ma curiosité ne s'arrête pas à l'aspect extérieur d'une crêperie. Je décide donc de pousser la porte de l'établissement, et j'entre. Mon premier regard va en direction du patron, taillé comme une armoire normande, derrière son bar, manifestement occupé à manipuler sa galetière. Un bon point, me dis-je. Au moins ici, la pâte n'aura rien d'industriel. </div>
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La salle est à l'image de la devanture, surannée. Au mur, on y trouve de vieilles photographies représentant le Havre avant-guerre. Quelques éléments de décorum bretons viennent agrémenter le tout. La musique, forte, n'a rien de celtique. On se sent quelque peu déphasé. La serveuse me conduit vers une table au fond de la pièce. Ce midi, le restaurant ne fait pas recette. Seulement cinq couverts.C'est plutôt bon signe, je serai servi rapidement. </div>
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La carte semble calquée sur le reste. Sans fioriture, rustique. Peu de choix, mais l'essentiel. Des galettes traditionnelles, de la complète jambon oeuf fromage à la moins classique savoyarde. J'opte pour cette dernière et commande une petite bouteille de cidre. Loin d'être exceptionnel, ce petit breuvage produit dans l'Oise n'en est pas moins agréable à cette heure du déjeuner. </div>
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Première galette, donc, la savoyarde. Accompagnée d’une petite salade et d'une batterie de lardons, l'objet de ma convoitise se révèle être d'une agréable compagnie. Les divers ingrédients, les pommes de terres, le reblochon, semblent être savamment dosés, avec finesse, et pourtant, la galette remplit copieusement mon espace gastrique. Et que dire de l'élément principal, la pâte ? Cuite à la perfection, elle reste souple tout en étant croquante. C'est à cela que l'on reconnait une galette fraîche. Un véritable délice. Par pure gourmandise, je commande une simple galette beurre. Celle-ci confirme mon diagnostique. Et pour finir, une petite crêpe au chocolat. Classique, mais efficace.<br />
<br />
Pour ce repas, j'ai déboursé une vingtaine d'euros. Sans cidre et sans galette beurre <i>bonus</i>, le déjeuner peut revenir autour des quatorze euros. Le rapport qualité/prix est correct, cependant une <i>formule midi</i> autour de dix euros serait appréciée.<br />
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<b>Sans fioriture ni chichis, la Bigouden saura ravir les amateurs de galette de tous poils. L'ambiance rustique et familiale rebutera sûrement les amateurs de crêperie-lounge. Mais les galettes y sont excellentes. Entrez-y sans peur, vous ne serez pas déçus. </b><br />
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhDxrD67uiZf6tfmuImAWKcneILlNkwZyaeQBzwG4WXrjW8R724AttEHFbVsngBTT6D7mHK-cqUSwGsSmg9bfrqLmv0DXFpmdCd3SDUkofZV5s0c1nvOP8WSlBDOFLKGG9YzhMin3aHat47/s1600/Bigouden.JPG" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="280" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhDxrD67uiZf6tfmuImAWKcneILlNkwZyaeQBzwG4WXrjW8R724AttEHFbVsngBTT6D7mHK-cqUSwGsSmg9bfrqLmv0DXFpmdCd3SDUkofZV5s0c1nvOP8WSlBDOFLKGG9YzhMin3aHat47/s400/Bigouden.JPG" width="400" /></a></div>
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<i>La Bigouden, 88 rue de Bretagne, 76600 Le Havre - Ouvert tous les jours sauf le samedi midi et le dimanche.</i><br />
<br /></div>Gwilhhttp://www.blogger.com/profile/13353328183577514416noreply@blogger.com0Le Havre, France49.49437 0.10792949.453116 0.028964999999999991 49.535624000000006 0.186893tag:blogger.com,1999:blog-1710813763811838173.post-88003155138143158582012-02-29T00:11:00.000+01:002012-02-29T00:11:19.434+01:00La Prédiction<div style="text-align: justify;">
<i>Il y a quelques mois, lorsque j'écrivais les dernières phrases de mon <a href="http://www.gwilhermalleonad.net/2011/06/tapis-volant-27-la-decouverte-du-havre.html">dernier article</a> sur la découverte du patrimoine havrais, je n'imaginais pas que ma conclusion deviendrait réalité. Ma réalité. Alors, certes, vous l’aurez compris, la suite de ce billet sera extrêmement nombriliste, flattant mon ego plus que de besoin. Il n'en demandais pas tant. Quoique... </i></div>
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<br /></div>
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"Il ne tient qu'à vous de découvrir, d'aller vous perdre, et peut-être ne plus revenir, d'un autre Ailleurs...", écrivais-je. Et bien, nous y voici. <a href="http://lehavre.fr/">Le Havre</a>. Ma nouvelle capitale. Ma nouvelle vie. Fini <a href="http://rouen.fr/">Rouen</a> et ses fastes bien cachés, ses petites ruelles médiévales et ses cent clochers. Me voici désormais havrais, un vrai de vrai, et ouais. Enfin presque. Parce que, pour devenir un véritable habitant du Havre, faudrait-il y avoir vécu quelques temps. Ma dernière année d'étude passée en son université sera-t-elle suffisante pour être accepté par les autochtones locaux ? Le mystère reste entier, le suspense demeure insoutenable.</div>
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<br /></div>
<div style="text-align: justify;">
"Mais où veut-il en venir avec toutes ses élucubrations, l'énergumène ?". A la lecture d'un tel billet, l'ennui et le désarroi se lisent sur votre visage, malgré l'écran, le bien nommé, qui nous sépare. Il faut avouer que ce verbiage, même s'il est pour moi plaisant à rédiger, n'en est pas moins inutile pour le moment. Parler, ou, en l'espèce, écrire pour ne rien dire sera surement l'activité la plus en vue ces prochains mois. Si vous en doutiez encore, lisez le Paris-Nor.... euh... le Havre Libre ou le Havre Presse, selon vos goûts. Troll. Oui, mais troll <a href="https://fr.foursquare.com/v/le-troll-caf%C3%A9/4b49fffff964a5208e7726e3">géolocalisé</a>. </div>
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"<i><a href="http://fr.lipsum.com/">Lorem ipsum</a></i>" écrivait l'auteur latin analphabète. L'angoisse de la page blanche se comble rapidement pour certain. Il me semble en être la preuve vivante. Trêve de bavardage. Les habitudes prises par ce blog, doté d'une existence propre et autonome, vont être bousculées. Les billets qui suivront seront surement moins réguliers, n'obéiront à aucune règle éditoriale précise. La limitation abusive, mais nécessaire, de caractère volera en éclat.</div>
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Puisque le Havre ne ressemble à aucun autre endroit, puisque le Havre fût, est, et restera un laboratoire pour les <a href="http://www.gwilhermalleonad.net/2011/05/tapis-volant-26-la-decouverte-du-havre.html">architectes urbanistes</a> de tous horizons, puisque le Havre vit au gré des marées et des arrivages de containers sur les quais de son port, puisque le Havre... Ce blog sera désormais à son image. Tout un programme. Une autre prédiction.</div>
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<a href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgMAZYFiGQyGs9vg-xJnsbBaPW57BbWWSQSbOtNDQPJ4lRO2b4TEkmWlE5pXQlYS_ftVZcyGTe2N8Zi0DJSFgplJ9vAmw3OVf05sGYfW4IkeOjhD7IdAxcxhtu4XiIqvfgQk0zb5zVbS6wT/s1600/Capture+du+2012-02-28+23:04:00.png" imageanchor="1"><img border="0" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgMAZYFiGQyGs9vg-xJnsbBaPW57BbWWSQSbOtNDQPJ4lRO2b4TEkmWlE5pXQlYS_ftVZcyGTe2N8Zi0DJSFgplJ9vAmw3OVf05sGYfW4IkeOjhD7IdAxcxhtu4XiIqvfgQk0zb5zVbS6wT/s1600/Capture+du+2012-02-28+23:04:00.png" /></a></div>
<br /><i style="text-align: justify;">"Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipisicing elit, sed do eiusmod tempor incididunt ut labore et dolore magna aliqua."</i><br />
<br />Gwilhhttp://www.blogger.com/profile/13353328183577514416noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1710813763811838173.post-91590084470630374432011-06-18T08:13:00.000+02:002012-02-28T18:34:31.634+01:00Tapis Volant #27 : À la découverte du Havre... Je vis Ailleurs<div style="text-align: justify;">
<i>Toute l'année durant, nous vous avons fait découvrir toute la richesse du patrimoine havrais, assez différent des paysages rouennais. La ville est toujours en mutation. Quel avenir pour Le Havre ? </i></div>
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Le Havre est une ville qui bouge. Malgré sa totale destruction durant la Seconde Guerre Mondiale, elle a su se reconstruire et repartir de l'avant. Elle est désormais l'un des poumons économiques des deux Normandies, poussé par le dynamisme de ses infrastructures. Le Grand Port Maritime du Havre reprend son envol depuis l'application de la réforme portuaire, début mai, les navires reviennent, chaque jour, décharger des milliers de boîtes, faisant battre le cœur des entreprises de la région. Mais Le Havre s'inscrit aussi dans une dynamique plus globale, celle de l'Axe Seine, jusqu'à Paris en passant par Rouen. Elle devient la tête de pont d'une façade maritime normande en pleine expansion, misant audacieusement sur les énergies éoliennes. Le port, créé il y a près de 500 ans par François Ier est donc toujours aussi stratégique. De grands travaux attendent la Ville pour les prochaines années : un tramway desservira le centre-ville, un nouveau grand stade s'implante à l'entrée de la ville, servant d'écrin aux futurs exploits du HAC. Le Volcan, scène nationale, est en pleine rénovation afin d'offrir aux Havrais des spectacles culturels de qualité. Le Havre est une ville qui vit. Et je vous invite à le découvrir par vous même. L'été est la meilleure saison pour la découvrir, flâner dans ses rues pour apprécier son architecture, passer l'après-midi au bord de la plage, aller visiter la maison de l'armateur, et finir par un restaurant en amoureux dans le quartier Saint-François. Il ne tient qu'à vous de découvrir, d'aller vous perdre, et peut-être ne plus revenir, d'un autre Ailleurs... <a href="http://www.jevisailleurs.com/">www.jevisailleurs.com </a></div>
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<a href="http://3.bp.blogspot.com/-UBqJVEBDX-8/TfNclShTQLI/AAAAAAAAAZg/28IuwKxltqk/s1600/FHTV27+-+Patrimoine+LH+-+Je+vis+Ailleurs.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="247" src="http://3.bp.blogspot.com/-UBqJVEBDX-8/TfNclShTQLI/AAAAAAAAAZg/28IuwKxltqk/s400/FHTV27+-+Patrimoine+LH+-+Je+vis+Ailleurs.jpeg" width="400" /></a></div>
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<i>« Il vaut mieux se perdre dans sa passion que perdre sa passion ».D. Robert.</i></div>Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1710813763811838173.post-54955273514115620942011-06-17T10:07:00.001+02:002011-06-17T10:07:00.879+02:00Tapis Volant #27 : Will&Co<div style="text-align: justify;"><i>William Abisror, étudiant strasbourgeois et passionné de talk-shows américains, nous livre depuis près d'un an et demi une émission pleine de bonne humeur, le dimanche à 17h00...</i></div><div style="text-align: justify;"><br />
</div><div style="text-align: justify;"><b>Un concept</b></div><div style="text-align: justify;"><br />
</div><div style="text-align: justify;">Le principe de Will&Co part d'une idée simple, être un podcast sérieusement marrant. Chaque semaine, Will et ses invités décortiquent l'information. Le concept de l’émission a quelque peu évolué depuis ses débuts. A l'origine, deux ou trois thèmes phares étaient distillés durant l'émission, l'occasion de débattre sur des sujets plus ou moins sensibles, comme l'alimentation des français, la Saint Patrick, la SACEM ou encore les nouveaux sports tendances de l'été. Certains invités avaient une chronique (cinéma, science...). Le tout étant saupoudré de mini-rubriques comme La blague du jour, le Guest Game, ou encore le Truc à savoir pour se la péter en société.</div><div style="text-align: justify;"><br />
</div><div style="text-align: justify;"><b>Nouvelle formule</b></div><div style="text-align: justify;"><br />
</div><div style="text-align: justify;">Depuis le mois d'octobre, Will insuffle une nouvelle dynamique à son émission. Le rythme est différent, la longueur du podcast également. Chaque émission commence par la traditionnelle présentation des invités. Ce ne sont pas toujours les mêmes qui reviennent, 81 se sont succédé aux micros de Will depuis le commencement. Cependant, certains invités sont devenus, au fil des derniers podcasts, de véritables piliers de l'émission, comme JackTyphus et Lolarosy. Le show se poursuit par un débriefing de l'épisode précédent. Puis, la première grande partie, Une semaine en sept infos, reprend les faits marquants de la semaine passée. Depuis quelques numéros, JackTyphus dispose de sa propre chronique, l'Instant Kapoué, drôle et culturelle. Hum...</div><div style="text-align: justify;"><br />
</div><div style="text-align: justify;"><b>Will ailleurs...</b></div><div style="text-align: justify;"><br />
</div><div style="text-align: justify;">Will&Co fait partie de la grande famille des podcasts NoWatch. Mais on retrouve aussi Will dans d'autres émissions, comme le podcast belge <a href="http://www.onatoujoursraison.be/">On a toujours raison</a>. Il anime aussi une émission sur une radio strasbourgeoise. Enfin, les magnifiques tee-shirts NoWatch sont en partie dessinés par Will. <a href="http://www.willandco.fr/">www.willandco.fr</a></div><div style="text-align: justify;"><br />
</div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="http://4.bp.blogspot.com/-6OWv9gRPjXc/TfNbghzU_3I/AAAAAAAAAZc/LlP3-1Vulpg/s1600/FHTV27+-+Podcast+-+WillandCo.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="261" src="http://4.bp.blogspot.com/-6OWv9gRPjXc/TfNbghzU_3I/AAAAAAAAAZc/LlP3-1Vulpg/s400/FHTV27+-+Podcast+-+WillandCo.jpeg" width="400" /></a></div><div style="text-align: justify;"><br />
</div><div style="text-align: justify;"><i>« Un homme seul est toujours en mauvaise compagnie ». P. Valéry.</i></div>Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1710813763811838173.post-74439499385232602952011-06-16T11:00:00.001+02:002011-06-16T11:00:05.090+02:00Tapis Volant #27 : L'été sera geek<div style="text-align: justify;"><i>Pauvre geek que vous êtes ! C'est l'été, et votre copine va avoir envie d'aller à la plage. Comme je vous plains... D'autant que je vous ai concocté une petite liste de choses à tester durant la saison estivale...</i></div><div style="text-align: justify;"><br />
</div><div style="text-align: justify;"><b>Miro 4</b></div><div style="text-align: justify;"><br />
</div><div style="text-align: justify;">Nos amis de chez Apple ont « révolutionné » l'usage des médias audio et vidéo grâce à leur logiciel iTunes. Peut-être. Cela reste pourtant lourd et fermé. D'autant qu'avec un terminal Android, vous n'en voyez pas l’intérêt. Réjouissez-vous ! Miro vient de passer en version 4. Quelles nouveautés au programme ? Une meilleure prise en charge des podcasts, la conversion de vidéos à la volée, l’accès direct aux stores d'Amazon, la possibilité de streamer un contenu entre deux ordinateurs d'un même réseau et une synchronisation directe avec les terminaux Android. <span id="goog_1270055973"></span><a href="http://www.getmiro.com/">http://www.getmiro.com</a></div><div style="text-align: justify;"><br />
</div><div style="text-align: justify;"><b>BitCoin</b></div><div style="text-align: justify;"><br />
</div><div style="text-align: justify;">Vous êtes un pro du négoce et aviez toujours rêvé de devenir un trader virtuel ? Second Life, c'est démodé, essayez-vous plutôt aux BitCoins ! Il s'agit d'une monnaie numérique utilisant un protocole P2P sécurisé. Lorsque vous installez le programme, vous générez un nombre aléatoire de BitCoins. Ceux-ci sont échangeables entre internautes, et font partie d'une d'une bourse monétaire virtuelle. Vous pouvez en acheter contre de l'argent réel, l'avantage étant qu'ils ne sont soumis à aucun contrôle financier, ni instance de régulation. Cette initiative open source est controversée. Les États se demandent si ce nouveau marché de la spéculation ne pourrait faire tomber l'économie mondiale... <a href="http://www.bitcoin.org/">http://www.bitcoin.org</a></div><div style="text-align: justify;"><br />
</div><div style="text-align: justify;"><b>Unity</b></div><div style="text-align: justify;"><br />
</div><div style="text-align: justify;">La nouvelle interface des distributions Ubuntu/Linux est loin de faire l'unanimité sur la blogosphère francophone. Il est vrai que changer les habitudes bien installées de geeks de tous poils, c'est rarement bien perçu par la communauté. Néanmoins, le design d'Unity est sobre, simple, bien pensé, et les raccourcis clavier sont légion. Ceci dit, il y a toujours possibilité de réinstaller Gnome 3.0... <a href="http://doc.ubuntu-fr.org/unity">http://doc.ubuntu-fr.org/unity</a></div><div style="text-align: justify;"><br />
</div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="http://1.bp.blogspot.com/-Dc2rh44K8Uo/TfNZvn_1DdI/AAAAAAAAAZY/95NNXf5vW0s/s1600/FHTV27+-+Informatique+-+La+derniere.jpeg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="245" src="http://1.bp.blogspot.com/-Dc2rh44K8Uo/TfNZvn_1DdI/AAAAAAAAAZY/95NNXf5vW0s/s400/FHTV27+-+Informatique+-+La+derniere.jpeg" width="400" /></a></div><div style="text-align: justify;"><br />
</div><div style="text-align: justify;"><i>« Retrouvez, dès la saison prochaine, une nouvelle équipe dans la Geek Page 23 ! » Gwilh.</i></div>Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1710813763811838173.post-27648640372416721262011-06-15T10:51:00.020+02:002011-08-10T10:56:39.415+02:00Le compte Twitter de Juin<div style="margin-bottom: 0cm;">
<a href="http://2.bp.blogspot.com/-S4kmgjKznM8/TfNX21Dt0sI/AAAAAAAAAZU/4MNw55hgZKQ/s1600/GR.jpeg" imageanchor="1" style="clear: left; float: left; margin-bottom: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="90" src="http://2.bp.blogspot.com/-S4kmgjKznM8/TfNX21Dt0sI/AAAAAAAAAZU/4MNw55hgZKQ/s200/GR.jpeg" width="90" /></a>
<div style="text-align: justify;">
<b><a href="http://www.twitter.com/grand_rouen">@grand_rouen</a> </b>Inactif depuis Octobre 2008, le site grand-rouen.com pourrait reprendre du poil de la bête, en témoigne les récentes émissions de messages via son compte Twitter. Ceci dit, le portail d'information rouennais ne devrait pas rouvrir avant l'automne. Cependant, <a href="http://www.grand-rouen.com/message-de-service/grand-rouen-le-retour/3402/">sa réouverture a été confirmée</a>, et la twittosphère rouennaise semble impatiente de découvrir ce que nous a concocté son webmaster. <a href="http://www.grand-rouen.com/">http://www.grand-rouen.com/</a><br />
<div style="text-align: right;">
<span class="Apple-style-span" style="font-size: x-small;"><i>Mis à jour le 10 août 2011 à 10:35.</i></span></div>
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</div>
Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1710813763811838173.post-61969484069472643402011-06-14T23:28:00.004+02:002011-06-15T21:36:08.909+02:00Le Tapis Volant #27 est de sortie<div><div style="text-align: justify;">Comme tous les mois depuis près de trois ans, retrouvez votre journal étudiant, le Tapis Volant, sur tous les campus rouennais ! Ce numéro 27 est, à titre personnel, un peu particulier. Mes dernières collaborations, en tant que membre de l'équipe rédactionnelle du mensuel, y sont publiées. Trois magnifiques années s'y sont écoulées, à faire découvrir les logiciels libres et les podcasts, relayer et commenter l'info high tech, partager ma passion pour le patrimoine rouennais et havrais. Sans regrets, je quitte le navire, passant la main à une nouvelle équipe de rédacteurs passionnés qui, je n'en doute pas, sauront renouveler et faire vivre la désormais traditionnelle "geek page 23" !<br />
<div style="text-align: center;"><br />
</div><div style="text-align: center;"><embed align="center" allowfullscreen="true" flashvars="mode=embed&layout=http%3A%2F%2Fskin.issuu.com%2Fv%2Fcolor%2Flayout.xml&backgroundColor=333333&showFlipBtn=true&autoFlip=true&autoFlipTime=6000&documentId=110614174642-5d1c1d7d98c44b2cadc3a3d98d15e774&docName=tapis_volant_27&username=fac-here&loadingInfoText=Journal%20Tapis%20Volant%20n)27&et=1308085515919&er=30" menu="false" name="flashticker" quality="high" salign="l" scale="noscale" src="http://static.issuu.com/webembed/viewers/style1/v1/IssuuViewer.swf" style="height: 351px; width: 470px;" type="application/x-shockwave-flash"></embed></div></div></div><div style="text-align: center;"><br />
</div><div style="text-align: justify;">Un grand merci à toute la rédaction pour ces agréables moments et les nombreux petits clins d'œuil qui parsèment ce numéro d'été. Les amis, vous me faites chaud au cœur...</div><div style="text-align: justify;"><br />
</div><div style="text-align: justify;"><i><b>Bon Vent De la rédac !</b></i></div><div style="text-align: justify;"><i><br />
</i></div><div style="text-align: justify;"><i>Notre ami et membre de l’équipe des fondateurs du Tapis Volant, Gwilh, tire sa révérence après trois ans de chroniques geekesques et le lancement du patrimoine rouennais, puis havrais. Un plaisir ! La doyenne des rubriques du Tapis Volant, l’informatique, voit son rédacteur terminer ses études, et donc son aventure avec le journal. En 27 numéros, vous avez découvert que Google faisait beaucoup de choses, que l’avenir de la radio est dans le podcast, que les bretons savent aussi geeker et que le jeu vidéo se décline aussi en libre. Trois ans de découvertes techniques, d’univers particuliers et d’innovations de demain, en exclu dans le Tapis Volant.</i></div><div style="text-align: justify;"><i><br />
</i></div><div style="text-align: justify;"><i><b>Bon vent, comme dirait Georges Pernoud, et bienvenue dans le club des Alumni de Fac-here !</b></i></div><div style="text-align: justify;"><i><br />
</i></div><div style="text-align: justify;"><i>Toute la rédaction t’adresse un énorme merci pour ton implication, sans arrêt, pour animer et dynamiser ces chroniques utiles et agréables, et à très vite pour quelques bières en terrasses ! Ces rubriques seront de retour à la rentrée avec de nouveaux visages. Le recrutement est ouvert, il n’est pas nécessaire de supporter Guingamp pour cela, même si... c’est un plus, pas vrai Gwilh ?</i></div><div style="text-align: justify;"><i><br />
</i></div><div style="text-align: justify;">Retrouvez le Tapis Volant en papier sur le campus, en consultation sur <a href="http://goo.gl/Jz2mw">Issuu</a> et sur <a href="http://fac-here.forumactif.com/">Fac-Here</a>, le forum des tous les étudiants rouennais !</div><div style="text-align: justify;"><br />
</div>Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1710813763811838173.post-53186823480349830242011-06-06T11:32:00.012+02:002011-06-15T12:09:44.961+02:00Google Music Bêta<div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><br />
</div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="http://4.bp.blogspot.com/-5EhsphAPKMQ/TeyddddJL0I/AAAAAAAAAYQ/W0bQOKDMs2k/s1600/google-music-up.JPG" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="105" src="http://4.bp.blogspot.com/-5EhsphAPKMQ/TeyddddJL0I/AAAAAAAAAYQ/W0bQOKDMs2k/s400/google-music-up.JPG" width="400" /></a></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><br />
</div><div style="text-align: justify;"><i>Le mois dernier, lors de sa conférence des développeurs I/O, Google a dévoilé un nouveau service, <a href="http://music.google.com/">Music Bêta by Google</a>. Cependant, le service n'est accessible que pour les internautes américains... Alors, si toi aussi, tu aimes te compliquer la vie par passion, tu vis en Europe, tu as une bécane qui tourne sous Ubuntu 10.10, et un Nexus One sous Android 2.3.4, ce tutoriel de la mort est pour toi !</i></div><div style="text-align: justify;"><br />
</div><div style="text-align: justify;"><b>Etape 1. Obtenir une invitation et activer son compte.</b></div><div style="text-align: justify;"><b><br />
</b></div><div style="text-align: justify;">La première étape est sans doutes la plus difficile et la plus aléatoire. Il nous faut obtenir une invitation de Google permettant d'accéder à leur nouveau service. Oui mais voilà, si t'es pas aux USA, tu repasseras ! Seule solution envisageable pour nous, pauvres européens que nous sommes, passer par un proxy américain. Heureusement, le site <a href="http://android-france.fr/2011/05/10/google-music-se-connecter-via-un-proxy/">Android-France</a> nous livre ses bonnes adresses, vous en trouverez un <a href="http://zend2.com/index.php?e=no_hotlink">ici</a>. Il ne nous reste plus qu'à nous rendre, via l'interface du proxy, sur le site de<i> </i><a href="http://music.google.com/">Music Bêta by Google</a>.</div><div style="text-align: justify;"><br />
</div><div style="text-align: justify;">Pour requérir une invitation, il vous faut posséder un compte Google actif. Si vous n'en avez pas, allez donc vous créer une boîte <a href="http://www.gmail.com/">Gmail</a>. Il vous suffit ensuite de renseigner les champs relatifs à votre login et votre mot de passe sur le site Google Music, et le tour est joué. Sachez néanmoins que, vous connectant par le biais d'un proxy, ces informations sont transmises en clair, sans le chiffrement SSL qu'une connexion en <i>https</i> vous garantierait. La véritable difficulté apparait maintenant, puisqu'il vous faut... attendre. Pour ma part, une vingtaine de jours ont été nécessaires avant que l'invitation ne me parvienne.</div><div style="text-align: justify;"><br />
</div><div style="text-align: justify;">Une fois le mail d'invitation reçu dans votre boîte Gmail, il vous suffit de cliquer sur le bouton-lien qui s'affiche. Notez qu'aucun lien en brut n'est communiqué, vous ne pouvez donc pas refiler votre invitation à un copain ou à un petit-cousin. Une fois votre compte activé, Google vous offrira des morceaux de musique gratuite, vous aurez le choix du genre. On y trouve, par exemple, de bons morceaux de jazz. Shakira fait partie de la playlist Latina pour les connaisseurs.</div><div style="text-align: justify;"><br />
</div><div style="text-align: justify;">N'hésitez pas à jouer un peu avec la bestiole, à vous familiariser avec son interface. Cliquez sur "Add Music"... Oh ! Bah zut ! Ils ont pas prévu de logiciel de synchronisation pour ces hippies d'utilisateurs de Linux...</div><br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="http://4.bp.blogspot.com/-IgWb072z7Ew/TeyeFSYitSI/AAAAAAAAAYU/MlOMl_4SX7k/s1600/google-music-500x204.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="162" src="http://4.bp.blogspot.com/-IgWb072z7Ew/TeyeFSYitSI/AAAAAAAAAYU/MlOMl_4SX7k/s400/google-music-500x204.jpg" width="400" /></a></div><br />
<div style="text-align: justify;"><b>Etape 2. Installer le Google Music Manager sous Ubuntu 10.10</b></div><div style="text-align: justify;"><br />
</div><div style="text-align: justify;">Allons bon. Pas moyen d'obtenir le logiciel de synchronisation directement sur le site. Heureusement, <a href="http://ubuntuforums.org/showthread.php?t=1767374">le forum anglophone d'Ubuntu</a> fourmille de solutions. Vous pouvez télécharger la version Windows via <a href="http://www.mediafire.com/?n4k334kki094d51">ce lien</a>. Maintenant, il nous faut installer ce Music Manager sur notre système d'exploitation. Pour faire tourner ce genre d'engins, nous n'avons pas d'autre choix que d'utiliser <a href="http://www.winehq.org/">Wine</a>. Il est important de disposer de la version 1.3, ou plus récente, sinon la manipulation ne fonctionnera pas. Ouvrez donc un terminal et entrez les commandes suivantes :</div><div style="text-align: justify;"><br />
</div><br />
<div style="text-align: justify;"><i>$ sudo apt-add-repository ppa:ubuntu-wine/ppa</i><br />
<i></i><i><span class="Apple-style-span" style="font-style: normal;"><i>$ sudo aptitude update</i></span></i></div><div style="text-align: justify;"><i><span class="Apple-style-span" style="font-style: normal;"><i>$ sudo aptitude install wine1.3</i></span></i></div><br />
<div style="text-align: justify;"><br />
</div><div style="text-align: justify;">Il ne vous reste plus qu'a décompresser le fichier téléchargé, double-cliquer dessus, et vous laisser guider. Il vous faut entrer votre login et mot de passe de compte Google, et spécifier le chemin d'accès au dossier comportant vos morceaux de musique. Une fois cette manipulation effectuée, le programme va téléverser vos mp3 dans le nuage de Google. Vous y aurez accès n'importe où, grâce au site de Music Bêta by Google. </div><div style="text-align: justify;"><br />
</div><div style="text-align: justify;"><b>Etape 3. Mettez à jour l'application Musique de votre smartphone Android.</b></div><div style="text-align: justify;"><br />
</div><div style="text-align: justify;">Utiliser Google Music pour faire du streaming sur votre ordinateur, c'est bien. Mais n'utiliser que cette fonctionnalité fait perdre 50% de l'intérêt du service. Les possesseurs américains de smartphones Android peuvent accéder à leur musique directement via l'application intégrée dans leur terminal, et utiliser une option "lecture hors connection" à la manière d'un compte Spotify Premium. La mise à jour de l'application Musique n'est pas disponible en Europe.</div><div style="text-align: justify;"><br />
</div><div style="text-align: justify;">Heureusement, les petits bidouilleurs de chez <a href="http://www.xda-developers.com/">XDA Developers</a> se sont penchés sur la <a href="http://forum.xda-developers.com/showthread.php?t=1072655">question</a>. Rassurez-vous, pas besoin de rooter son téléphone, il suffit d'installer <a href="http://forum.xda-developers.com/attachment.php?attachmentid=592153&d=1305047423">la version 3.0</a> de l'application, ainsi que <a href="http://forum.xda-developers.com/attachment.php?attachmentid=613591&d=1306971354">sa mise-à-jour 3.0.1</a>. Téléchargez ces applications sur votre ordinateur, dézippez-les si nécessaire, branchez votre smartphone via le câble USB et transférez ces fichiers sur sa carte SD. Servez-vous ensuite d'un <a href="https://market.android.com/details?id=com.estrongs.android.pop">explorateur de fichier</a> pour installer manuellement ces applications. Il vous faudra au préalable modifier vos paramètres en autorisant l'installation de programme qui ne proviennent pas de l'Android Market.<br />
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<b><i>[EDIT|7 juin 2011] La dernière version de l'application Musique a, <a href="http://www.frandroid.com/actualites-generales/72805_les-terminaux-francais-recoivent-actuellement-les-applications-books-et-music/?utm_source=twitterfeed&utm_medium=twitter&utm_campaign=Feed%3A+Frandroid+%28FrAndroid%29">aujourd'hui</a>, fait son apparition sur le Market, tout comme Google Books. Cette étape n'est donc nécessaire que si votre terminal n'a pas reçu cette mise à jour over the air.</i></b></div><div style="text-align: justify;"><br />
</div><div style="text-align: justify;">Ouvrez ensuite l'application Musique, tout en étant en Wifi, et le tour est joué ! Vous avez désormais accès à l'ensemble de vos morceaux en ligne directement sur votre smartphone... Et là on se prend à rêver : le potentiel d'un tel service, combiné à la puissance d'un abonnement Spotify Premium engendrerait une véritable killer app !</div><br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="http://4.bp.blogspot.com/-xux485YVjG8/TeyeW6Gqk9I/AAAAAAAAAYY/xRGkyFtaCcg/s1600/google-music-android.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="214" src="http://4.bp.blogspot.com/-xux485YVjG8/TeyeW6Gqk9I/AAAAAAAAAYY/xRGkyFtaCcg/s320/google-music-android.jpg" width="320" /></a></div><div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><br />
</div></div>Unknownnoreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-1710813763811838173.post-74773936933998580062011-05-18T20:46:00.002+02:002011-06-06T20:49:10.824+02:00Tapis Volant #26 : À la découverte de Rouen... La Place du Vieux-Marché<div style="text-align: justify;"><i>Chargée d’histoire et empreinte de modernité, la Place du Vieux-Marché attire chaque année des milliers de visiteurs. Ce lieu qui a vu mourir Jeanne d’Arc est aussi prisé des rouennais pour ses bistrots….</i></div><div style="text-align: justify;"><br />
</div><div style="text-align: justify;">Au 11ème siècle, les marchands itinérants et les cultivateurs de la région rouennaise prennent pour habitude de venir installer leur échoppe en périphérie, hors l’enceinte de la ville. On y construit rapidement une première église, Saint-Sauveur, qui ne sera détruite qu’en 1795, puis une deuxième, Saint-Michel. Parallèlement aux activités mercantiles, les exécutions publiques y sont fréquentes, et ce, jusqu’en 1836. La plus célèbre, celle de Jeanne d’Arc a eu lieu 30 mai 1431. Le bûcher de la Pucelle se trouve à l’endroit de l’actuelle croix. Au fil des siècles, la place devient un haut lieu du Rouen intra-muros. Pierre Corneille, né à deux pas de la place, est baptisé au 17ème siècle dans le chœur de Saint-Sauveur. Au milieu du 18ème siècle, on projette de faire disparaitre le marché au profit d’un immense hôtel de ville et d’une place royale. Les travaux débutent, mais sont rapidement avortés (v. TV n°19). Au 19ème siècle on agrandit la place, qui perd ainsi sa forme triangulaire. On y installe petit à petit des halles. La canonisation de Jeanne d’Arc en 1920 provoque un regain d’intérêt pour la place chez les rouennais, on y édifie une statue à la gloire de la sainte. A la fin de la Guerre en 1944, on entreprend de véritables travaux de réaménagement. On agrandit de nouveau la place, on y remonte d’anciennes maisons du quartier Saint-Vivien et on transfère les halles centrales à la périphérie de Rouen (actuellement le M.I.N.). Dans les années 1970, on décide d’y bâtir une construction audacieuse, comprenant des halles, une église, et un mémorial en l’honneur de la Pucelle. Ce sera l’église Sainte-Jeanne d’Arc, inaugurée en 1979 par Valéry Giscard d’Estaing.</div><br />
<div class="separator" style="clear: both; text-align: center;"><a href="http://4.bp.blogspot.com/-zGqcoBgLYZs/Te0g7L9Yc8I/AAAAAAAAAZQ/3lLqpJoYe8E/s1600/FHTV26+-+Patrimoine+RO+-+Place+du+Vieux+Marche.jpg" imageanchor="1" style="margin-left: 1em; margin-right: 1em;"><img border="0" height="300" src="http://4.bp.blogspot.com/-zGqcoBgLYZs/Te0g7L9Yc8I/AAAAAAAAAZQ/3lLqpJoYe8E/s400/FHTV26+-+Patrimoine+RO+-+Place+du+Vieux+Marche.jpg" width="400" /></a></div><br />
<div style="text-align: justify;"><i>« Je suis un vieux peau-rouge qui ne marchera jamais dans une file indienne. » A.Chavée</i></div>Unknownnoreply@blogger.com0